15/02/2020
POITIERS
Les participants ont imaginé un parcours de santé pour dénoncer la financiarisation de la santé.
(Photo Patrick Lavaud)
Le côté festif, on le met de côté, souffle Éric Plat, secrétaire général du syndicat CGT du Centre hospitalier Henri-Laborit. Car, ce vendredi matin, au rassemblement organisé devant l'hôtel de ville de Poitiers, la musique ne suffit pas pour dissiper le malaise ressenti par les agents après la mort d'une collègue infirmière en psychiatrie, victime d'une agression par un patient à l'hôpital du nord Deux-Sèvres à Thouars.
« On veut considérer la psychiatrie comme un service somatique du CHU mais la prise en charge de la psychiatrie, c'est basé sur la relation de confiance et pour cela, il faut du personnel qualifié et stable », décline le responsable syndical.
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