L'enjeu est crucial, car la vaste majorité des personnes alcoolodépendante, 8 à 9 personnes sur 10, ne va pas chercher d'aide médicale, souvent à cause de la honte qui accompagne ce trouble, et du tabou qu’il représente.

Georges* (prénom d'emprunt), cadre bancaire, a compris qu’il avait un problème alors qu'il était en recherche d'emploi. Le chasseur de têtes qu'il rencontre à 9h00 du matin lui confie qu'il sent l'alcool. "Je me savonne la planche, je construis ma descente. Et là, je perds une dignité, la première dignité c'est l'image", témoigne-t-il dans le podcast Dingue de la RTS.

Lire la suite ...