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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

samedi 15 octobre 2022

Ils ont renoncé à avoir un enfant : « C’est un deuil qui ne m’empêche plus d’avancer »

Par   Publié le 15 octobre 2022

Photo extraite de la série « Cicatrices » de Victor Point : les injections pour les stimulations hormonales que réclame une PMA - de l’insémination artificielle à la FIV - impriment leur marque sur le corps de la femme.

Avoir un enfant était le projet de leur vie. Infertiles, ils ont suivi le parcours du combattant pendant des années : PMA, adoption, don d’ovocytes, en vain. Jusqu’au point de bascule, le choix d’un autre chemin. Et la prise de conscience qu’enfanter n’est pas la seule condition du bonheur.

« Je n’y crois plus. » Ce jour d’hiver 2019, allongée sur la table d’examen échographique, Marie (le prénom a été modifié), 40 ans, Parisienne, bascule face à l’écran noir. « Je n’ai plus d’ovocytes, je le sais. » Cinq ans qu’elle et son époux mènent « une course de fond » pour avoir un enfant. Par deux fois, ils ont perdu le bébé qu’elle portait. La dernière fécondation in vitro (FIV) n’a rien donné malgré la lourdeur du traitement injecté pour stimuler ses ovaires. Aucun ovule n’a pu être prélevé.

« Je peux presque visualiser le moment où ça a switché dans ma tête, relate-t-elle. Ce ne sont pas des choses que l’on décide, il ne suffit pas de “lâcher prise”. » Elle parle de cette prise de conscience comme d’un « petit miracle », celui-là même qu’on associe d’ordinaire à l’heureux événement. Que se passe-t-il ce jour-là, qui sans doute cheminait sous le voile de l’abnégation ? « J’ai pris conscience que j’avais pu être très heureuse sans enfant, que ce n’était pas la condition du bonheur. A partir de là, tout a été plus simple. »

Métamorphoses, découvrir l'histoire de la psychiatrie en podcasts

@pixabay

 Réseau Hôpital & GHT 

Publié le   par  


Le podcast Métamorphoses est un voyage dans le temps, proposant de donner quelques clés sur l’histoire des hôpitaux psychiatriques et des soins qui y étaient dispensés à leur création. Pourquoi furent construits les asiles d’aliénés du département de la Seine au XIXe siècle ? Comment étaient prises en charge les personnes internées, et quel était leur quotidien dans ces grands établissements sur lesquels l’assistance psychiatrique départementale a reposé jusqu’en 1968 ? Les quatre épisodes de cette première saison esquissent ainsi les principes fondamentaux sur lesquels reposait l’assistance et ce, afin de saisir au mieux leurs évolutions tout au long du XIXe siècle.


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Aboubakar Soumahoro, premier député italo-ivoirien au Parlement italien

Vendredi 14 octobre 2022

Provenant du podcast

Comme personne

Aboubakar Soumahoro pose devant la Chambre des députés, il est élu pour la première fois et sous les couleurs de la coalition « Vert/Gauche » ©Radio France - Bruce de Galzain

Résumé

En Italie, la droite et l'extrême droite ont gagné les élections. Mais parmi les nouveaux entrants à la Chambre des députés, Aboubakar Soumahoro, ivoirien, n’a la nationalité italienne que depuis dix ans. Il est aujourd'hui le seul député noir du Parlement.


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Il jongle avec l'italien, le français la nuit dernière il a rêvé en bambara une des nombreuses langues de Côte d'Ivoire mais Aboubakar Soumahoro ne veut pas tout de suite se livrer. Il ressent d'abord le poids de la responsabilité de devenir député.

"Ce n'est pas mon histoire mais c'est l'histoire de tous les damnés de l'ère de l'économie digitale, du capitalisme digital. Ce sont les précaires, les exploités, les sans-abris, toute personne discriminée. Je suis l'expression d'un parcours collectif."

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vendredi 14 octobre 2022

Le petit Jules, une bonne nouvelle

Mercredi 12 octobre 2022

Provenant du podcast

Les Pieds sur terre

Jules, Jérôme et Isabelle entourés de leurs proches. - Jérôme

Résumé

Rien ne préparait Isabelle et Jérôme à avoir un enfant polyhandicapé. Passé la surprise, il a fallu s’adapter, tout ça dans la joie et la bonne humeur.


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Jérôme et Isabelle se rencontrent au travail, ils se marient puis ont un enfant, à respectivement 39 et 48 ans. La grossesse d’Isabelle se passe bien, mais, l’enfant se présentant par le siège, la clinique décide de provoquer la naissance par césarienne à huit mois de grossesse.




BILireLe petit Jules, une bonne nouvelle

Les psychologues dénoncent une mise en danger de leur profession !

 Journaldunet.com

Chronique de 
SNPPSY



Le 12/10/22 

Les psychologues dénoncent une mise en danger de leur profession et une prise en charge "low cost" de la santé mentale des Français. 

La crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19 a eu un impact sans précédent sur la santé mentale des Français. Les résultats de la dernière enquête CoviPrev démontrent la dégradation de leur état psychologique post-épidémie (évolution par rapport au niveau avant épidémie) : 15% d’entre eux rapportent des signes d'un état dépressif (+5 points), 25% des signes d'un état anxieux (+12 points) et 67% souffrent de problèmes d'insomnie (+18 points).

Le nouveau dispositif gouvernemental MonPsy suscite la colère du Snppsy

Le dispositif MonPsy lancé le 5 avril dernier permet aux patients de plus de 3 ans atteints de troubles psychiques légers à modérés (non ouverts aux formes sévères de troubles psychologiques) de bénéficier du remboursement de 8 séances d'accompagnement psychologique par an. Les honoraires des praticiens sont fixés à 30€ par séance (40€ pour l'entretien d'évaluation réalisé lors de la première séance) et ne peuvent faire l'objet d'un dépassement. Les patients sont remboursés à 60% par l'Assurance maladie, le solde étant pris en charge par l'assurance complémentaire. Pour en bénéficier, il faut être adressé par un médecin généraliste et s'adresser à un psychologue conventionné et répertorié sur la plateforme MonPsy.

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Santé mentale : quelle place occupent les thérapies non médicamenteuses en psychiatrie ?

  14 octobre 2022  







Si les maladies psychiques sévères et persistantes requièrent le plus souvent un traitement pour diminuer les symptômes, les thérapies non médicamenteuses peuvent permettre aux patients d’acquérir des compétences pour comprendre leurs troubles et mieux faire face à leur souffrance.

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A L'ECOUTE DES ENFANTS HYPERACTIFS


 














Le pari de la psychanalyse

Enfant agité, angoissé ou troublé, enfant tornade, inattentif et hyperactif… Le TDAH est devenu en quelques années le trouble mental le plus fréquent chez l’enfant, une question de santé publique et un phénomène de société.

Or, plusieurs décennies de recherches intensives en neurobiologie ou en génétique du TDAH n’ont permis aucune avancée en termes de diagnostic ou de thérapeutique.

Partant d’une critique éclairée et argumentée des approches biomédicales et standardisées du TDAH, cet ouvrage soutient la nécessité de la psychanalyse, de sa clinique et de son éthique dans le soin et l’accueil de la parole de l’enfant et de ses parents. Il rassemble des textes scientifiques susceptibles de rendre compte des effets de déplacement et d’ouverture à l’œuvre dans le travail psychanalytique avec des enfants diagnostiqués TDAH. Chaque contribution clinique engage une réflexion sur des questions sensibles et complexes : le nouage de la parole et du corps, l’usage des catégories et des références diagnostiques en psychanalyse, la place du traitement médicamenteux, le travail avec les parents, la dialectique science/psychanalyse, l’éthique de la psychanalyse…

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Covid : point d’actualité en psychiatrie

Publié le 

La cellule nationale Covid psy s’est réunie récemment pour faire un point d’actualité sur l’épidémie relative au SARS-CoV-2, échanger sur les problématiques des établissements autorisés en psychiatrie en lien avec le Covid -19 depuis cet été, partager les recommandations sanitaires en vigueur et au niveau local, enfin discuter de la stratégie vaccinale.

Une enquête flash construite par la Conférence des Présidents de CME de CHS a été adressée aux établissements autorisés en psychiatrie principalement les EPSM et CHS. L’enquête était anonyme, elle s’est déroulée du 3 au 5 octobre 2022, et la cible du questionnaire concernait les PCME. L’analyse s’est faite par région.

  • Concernant l’épidémie, les taux d’incidence et le nombre de cas positifs augmentent sans pour autant atteindre, à ce stade, un pic comparable aux précédents des 7 dernières vagues. Le variant Omicron est désormais prépondérant. Les nombres de cas graves, les hospitalisations et admissions en soins critiques de patients avec infection SARS-CoV-2 n’ont pas encore d’impact majeur sur le système de santé.
  • Pour les établissements autorisés en psychiatrie, bien qu’on puisse relever des hétérogénéités d’organisation en fonction de la circulation du virus sur différents territoires, il est difficile d’objectiver une relation de causalité entre l’absentéisme des soignants et l’infection au COVID-19.
  • La majorité des établissements a maintenu l’obligation du port du masque pour les professionnels et patients (97%) en hospitalisation complète avec des variations sur l’ambulatoire où le port du masque reste suggéré voire incité en fonction de certaines situations cliniques. Quant aux gestes barrières et à l’utilisation de solution hydroalcoolique, ils restent bien présents et régulièrement rappelés.
  • L’enquête flash de la conférence identifie des contaminations beaucoup plus nombreuses chez les patients que chez les soignants puisque les patients sont systématiquement dépistés à chaque admission ou à l’occasion d’examens ou de consultations spécialisées voire en fonction des signes cliniques suspects de Covid. Il est difficile de connaitre l’ampleur des contaminations chez les soignants.
  • L’ensemble des activités ont été maintenues sans la mise en place de jauge particulière. En revanche, la tension sur les ressources humaines de cause multifactorielle a amené certains établissements à réduire voire à fermer des lits d’hospitalisation à temps complet ou partiel. A ce jour, les impacts sur les lits et l’absentéisme des soignants mériteraient une étude plus approfondie.


Les chats responsables de la plus vaste transmission de maladie à l'homme (zoonose)

Écrit par François Clapeau   Publié le 

Cet animal énigmatique n'a pas livré tous ses secrets...

Cet animal énigmatique n'a pas livré tous ses secrets... • © France 3 Limousin

Des chercheurs de Limoges viennent de démontrer que l’évolution et la diffusion de la toxoplasmose était liée à la domestication du félin au cours des derniers millénaires. Ces travaux renseignent sur le rôle de l’homme dans l’émergence des zoonoses, et ils pourraient contribuer au développement d’un vaccin.

Les chats domestiques nous accompagnent, nous observent, nous attendrissent… et ils sont souvent porteurs de la toxoplasmose. C’est une zoonose, c’est-à-dire une maladie transmissible de l’animal à l’homme. La plupart du temps, elle n’a pas de conséquences graves, mais elle peut être dangereuse pour les personnes aux défenses immunitaires trop faibles, ou pour les futurs bébés quand une femme enceinte est touchée.


Psychiatrie : l’urgence, c’est toutes les semaines

 12/10/2022

La « semaine de la santé mentale » vient rappeler combien le Centre-Bretagne est touché par le suicide, aboutissement ultime de dépressions profondes qui touchent en particulier des agriculteurs et des personnes âgées. Précarité de l’emploi et des salaires dans le monde agricole et l’industrie agro-alimentaire, galère des surcharges de travail, misère des minimas sociaux et des retraites, manque de structures d’accueil du grand âge… des causes qui s’apparentent à de véritables meurtres sociaux dont le système capitaliste est responsable.


Interview François Braun, ministre de la Santé : «Notre système construit sur l’offre de soins est à bout de souffle»

par Nathalie Raulin  publié le 13 octobre 2022

Le ministre, nommé en juin, détaille son projet pour lutter contre les déserts médicaux et aspire à une action «plus en prise avec la réalité des besoins de santé des territoires».

Pas inquiet, mais embarrassé, François Braun. Le ministre de la Santé le dit : la gronde étudiante contre son projet d’instaurer une quatrième année d’internat de médecine générale sous forme de stage ambulatoire à réaliser «en priorité» dans les déserts médicaux, est le fruit d’un «malentendu» qu’il se charge de dissiper. Pour «répondre aux besoins de santé» de la population, l’ex-président du syndicat Samu-Urgences de France mise davantage sur la «responsabilité» des professionnels de terrain.

Pénurie de médecins : un mal incurable ?

par Nathalie Raulin  publié le 13 octobre 2022

Pressé par les députés de réguler la liberté d’installation des praticiens, Emmanuel Macron n’a concédé qu’une quatrième année d’internat fléchée vers les déserts médicaux. Nouvelle tentative d’enrayer le fléau sans recourir à la coercition, l’annonce a été accueillie par un appel à la grève ce vendredi.

Réguler l’installation des médecins dans les déserts médicaux ? «Au Parlement de se saisir de la question», s’est défaussé lundi Emmanuel Macron, lors d’un échange avec les élus et les professionnels de santé à Craon (Mayenne) organisé dans le cadre du volet «santé» du Conseil national de la refondation. Mais dans un département classé troisième désert médical de France, où un habitant sur cinq n’a pas de médecin traitant, la repartie présidentielle a suffi pour attiser un feu couvant. Saisissant la balle au bond, la députée Modem de Mayenne, Géraldine Bannier, a déposé mercredi une proposition de loi visant à imposer aux jeunes médecins une première année d’exercice dans les déserts médicaux. «Le sujet de l’inégale répartition des médecins entre les territoires doit être pris de front», argumente-t-elle sur Twitter. Une initiative loin d’être isolée, tant l’encadrement de la liberté d’installation des médecins est désormais perçu comme une urgence sur tous les bancs de l’Assemblée, de La France insoumise au Rassemblement national.

Jardin mental : l’appli qui cultive la santé mentale et traque l’angoisse !

https://monsuivipsy.fabrique.social.gouv.fr/

Mieux connaître ses symptômes pour un meilleur accompagnement médical

Les troubles psychiatriques touchent plus de 20 % de la population, à un moment de la vie. Et trouver le bon traitement peut prendre plusieurs années. Pendant ce temps-là, les symptômes évoluent, peuvent devenir chroniques et l’état du patient s’aggrave. L’impact peut être dramatique. 

[...] Mon Suivi Psy est fait pour ça !

Plus les informations concernant mes symptômes sont proches de la réalité, de ce que je vis, plus mon médecin sera en mesure de me prescrire le bon traitement, celui qui sera le plus efficace possible avec le moins d’effets indésirables.

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En finir avec une femme «Bien» par Tania de Montaigne




par Tania de Montaigne  publié le 13 octobre 2022

 Etre une femme oblige à naviguer entre le trop et le pas assez, à marcher sur un fil à des kilomètres du sol avec la pureté dans une main et la beauté dans l’autre. Attention à ne pas tomber.

C’est quoi être une femme ? C’est, mourir, ici, pour une mèche de cheveux qui dépasse. Là, pour un bout de genou trop apparent, pour une cheville trop visible, pour un décolleté trop plongeant. C’est, mourir dans le cabinet douteux d’un avorteur clandestin. Mourir de n’avoir pas été assez pure. Mourir pour l’exemple. C’est, découvrir qu’il y a au-dessus de votre tête une épée de Damoclès avec le mot «pureté» gravé en lettres gothiques. Car, tout le monde le sait, les femmes Bien sont pures. Et, apparemment, être une femme Bien est ce qu’on peut rêver de mieux. What else ?

Contraception : qui a fait passer la pilule ?

Jeudi 13 octobre 2022

Provenant du podcast

Sans oser le demander

Une histoire de la politique ©Getty - Aitor Diago

Résumé

Introduite à la fin des années 1960, la pilule est le moyen de contraception le plus utilisé par les Françaises. Elle serait considérée comme plus bénigne, pratique, sûre... Mais, est-elle une véritable prouesse scientifique ou juste une norme sociale qu’on peine à défaire ? 


avec :

Alexandra Roux (sociologue).


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En matière de contraception, chacune (et chacun) a son histoire. Force est pourtant de constater que c'est souvent la même : d'abord, préservatif, après pilule, et après la maternité, le stérilet. Hormis quelques à-côtés (retrait, abstinence ou stérilisation), pourquoi la contraception est-elle donc si uniformisée ? 

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Tahireh, poétesse et première féministe iranienne

Par   Publié le 

- inconnu

Ce n'est pas la première fois que les femmes iraniennes se révoltent contre le port du voile. En 1848, la poétesse Tahireh a retiré son voile en pleine conférence religieuse pour réclamer plus d'égalité entre hommes et femmes. Elle sera condamnée à mort quelques années après. 

La mort de Mahsa Amimi, arrêtée par la police des mœurs iranienne parce qu'elle ne portait pas son voile correctement, a déclenché une vague de manifestations en Iran. Depuis son décès en détention, un vent de colère anime la jeunesse iranienne et de nombreuses jeunes femmes retirent leur voile en public. Ce geste, hautement symbolique, est le même que celui effectué en 1848 par une poétesse et féministe iranienne, Tahireh. Yves Bomati, iranologue et co-auteur de Iran, une histoire de 4000 ans (Ed. Perrin, 2019) nous raconte la vie incroyable de cette pionnière du féminisme iranien.

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Deuil blanc

 


L’exposition au deuil blanc de l’aidant (conjoint, enfant...) s’observe lorsque la personne aimée n’est pas décédée, reste physiquement présente et perd progressivement ses capacités mentales. Ce qui a disparu et dont l’aidant doit faire le deuil, c’est avant tout la réciprocité de sa relation avec son proche atteint de troubles cognitifs, en incapacité de le reconnaître ou de lui retourner des manifestations visibles des liens affectifs antérieurs.

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Se vouloir du bien et se faire du mal. Philosophie de la dispute

Par Maxime Rovere 
Chez Flammarion

Maxime Rovere


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L'humanité a déployé assez d'intelligence pour mettre au point des machines qui explorent Mars, mais pas pour comprendre pourquoi et comment un bouchon mal vissé peut devenir un sujet de discorde. Explorant la dispute sous toutes ses coutures, ce livre résolument optimiste peut se résumer ainsi : "aucune souffrance n'est indispensable, aucune souffrance n'est gratuite" . Une magistrale remise en perspective de nos errements, de nos insuffisances et de nos idéaux.

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