SUISSE
12 octobre 2020
Environ 40% des médecins de famille ont déjà été confrontés à au moins un patient ayant décidé de renoncer à toute alimentation solide ou liquide afin de mourir, selon une étude. La mort par le jeûne reste une forme de suicide passif qui pose de multiples questions éthiques.
"Nous ne nous attendions pas à un chiffre aussi élevé", indique Sabrina Stängle, coauteure de cette recherche. Plus de 40% des médecins interviewés ont en effet admis avoir été confrontés au moins une fois au renoncement volontaire de s'alimenter pour mourir.
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