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Des activistes féministes, inspirées par le mouvement chilien “Las Tesis”, dansent devant le Parlement grec à Athènes le 22 décembre 2019. © Louisa Gouliamaki/AFP
« Balance ton porc », « Balance ton cabinet », « Balance ta rédac », « Balance ta start-up »… Depuis quelques années, des groupes de personnes prennent la parole en public pour dénoncer des comportements abusifs ou violents dans leur secteur d’activité. D’autres utilisent les mêmes méthodes pour dénoncer des idées jugées intolérables : ainsi, deux professeurs ont vu leur nom affiché à l’entrée de l’Institut d’études politiques de Grenoble, début mars, car ils avaient émis des critiques à l’égard de la notion d’ « islamophobie ».
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