Invité sur Europe 1 vendredi, le nouveau délégué ministériel à la Santé mentale et psychiatrie, Frank Bellivier, vante des moyens "assez inédits dans la refonte du système de financement et dans les enveloppes complémentaires" à destination d'un secteur sinistré.
INTERVIEW
La psychiatrie va mal et il est (en partie) chargé de la guérir. Lui, c'est Frank Bellivier, le nouveau délégué ministériel à la Santé mentale et psychiatrie, nommé mercredi par Agnès Buzyn. La tâche que lui a confiée la ministre de la Santé et des Solidarités n'est pas mince : il s'agit de redresser le secteur, considéré comme le "parent pauvre" de la médecine française, avec deux millions de patients soignés chaque année mais 60% de lits en moins sur quarante ans. "Le bilan maintes fois fait de cette discipline montre qu'il y a une insuffisance d'offre par rapport aux besoins", déplore-t-il au micro Europe 1 de Matthieu Belliard, vendredi.
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