Peut-on mesurer le bonheur ? Le think tank la Fabrique Spinoza publie aujourd'hui son "PIB du bonheur". Une nouvelle tentative de rendre incontournables des mesures alternatives au PIB. Comment les nouveaux indicateurs tentent-ils de s'imposer ? Dossier de Catherine Petillon
Compter ce qui compte, et interpeller les politiques. C'est l'objectif du "PIB du bonheur". C'est comme ça que La Fabrique Spinoza appelle son nouvel indicateur du bien-être. 72% des personnes interrogées souhaitent que le bonheur soit une priorité politique majeure. Et si 28% se disent très heureux, 3% déclarent « avoir la pire vie possible à leurs yeux », explique Alexandre Jost, fondateur du think tank. Ce qu'il met en avant, c'est la volonté de partir du ressenti du citoyen, à travers 47 questions subjectives.
Bonheur : de grandes inégalités entre les Francais (A. Jost)
« Notre espoir c’est que toutes les politiques publiques à venir soient évaluées à l’aune de ces critères », ajoute Alexandre Jost
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