Dans une lettre ouverte adressée la semaine dernière à Agnès Buzyn, l'ANPDE (Association nationale des puéricultrices.eurs diplômé.e.s et des étudiant.e.s) estime que le ratio infirmière-enfant est actuellement menacé dans les services de néonatalogie. L'association demande son maintien.
"Alors que l'ensemble des soignants hospitaliers se mobilise pour des conditions de travail permettant d'assurer des soins de qualité, le ministère poursuit sa grande réforme de santé portant notamment sur le régime des autorisations en périnatalité. Dans ce contexte, le ratio par enfant d'infirmières spécialisées en puériculture est menacé dans les services de néonatalogie", estime l'ANPDE dans sa lettre.
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