Par Lucien Fauvernier - Mis à jour le 12 Septembre 2019
Depuis la fermeture en 2015 des mausolées qui enfermaient – plus qu’ils ne soignaient –, les Marocains atteints de troubles psychiques, la situation des malades psychiatriques s’est améliorée dans le pays. Il reste, néanmoins, un travail considérable à réaliser pour mieux accompagner les patients pendant les soins. Et permettre, ensuite, leur réinsertion au sein d’une société où la question de la santé mentale demeure un tabou très important. Explications de Lydia-Hanaa Faris et Rim Akrache, psychologues et fondatrices de l’association Ruban d’espoir.
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