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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 20 mai 2021

Ces petites phrases que les mères ne veulent plus entendre

 Le 21 mai 2021

Ces petites phrases que les mères voudraient ne plus entendre

Dans la série Friends, Amy, la sœur de Rachel, propose de percer les oreilles de sa fille afin qu'elle ressemble davantage à une fille.

«Il fait ses nuits ?», «À quand le deuxième ?» ou l'éreintant «À mon époque...» sont autant de petites phrases qui hantent les mères, de la conversation non-sollicitée dans la rue au déjeuner dominical, en passant par le coup de fil à une amie.

Les amies

«Maman cool, bébé cool !»

N’importe quelle phrase commençant par «tu devrais».

«Pour le sommeil tu fais le "5-10-15" ou la méthode chrono-dodo ?»

«Ah, tu fais comme ça ?»

«Tu ne lui prépares pas ses purées ? Tu sais, avec le Babycook, c’est pourtant hyperrapide !»

«Il dort encore avec vous ?»

«La nôtre dort dans un lit-cabane Montessori depuis l'âge de 10 mois.»

«Tu l’allaites ?»

«Tu ne l’allaites pas ?»

«Tu l’allaites encore ?»

«Tu vas l'allaiter jusqu'à ses 18 ans ?»

«Profite, ça passe tellement vite !»

La famille

N’importe quelle phrase commençant par «à mon époque», «avant», «de mon temps»...

«Il te ressemble.»

«Tu étais exactement pareil à son âge.»

«Petits enfants, petits soucis.»

«C'est pour quand le petit deuxième ?»

«Ça y est, tu as perdu tous tes kilos de grossesse ?»

«Ah, mais tu attends le troisième ?» (alors que non)

«Ah, tu mets encore des maillots deux-pièces ?»

«Un bébé n'a pas besoin de son père les premiers mois.»

«Tu as vraiment un mari en or», quand il change une couche. Une fois par jour.

«Tu as l'air fatiguée.»

«Laisse-le pleurer.»

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Déconfinement : que sait-on des risques de contamination dans les lieux qui rouvrent ?


 





Par  Publié le 19 mai 2021

Les études et connaissances accumulées jusqu’ici permettent d’estimer les niveaux de risques selon les lieux et les conditions qu’ils offrent.

Terrasse du Bouillon Croix-Rousse, dans le 4e arrondissement de Lyon, le 19 mai 2021.

Les lieux qui peuvent à nouveau accueillir du public dès le 19 mai peuvent-ils devenir des lieux de contamination et participer à un rebond épidémique ? Plusieurs travaux scientifiques ont cherché à étudier la transmission du SARS-CoV-2 selon l’endroit où l’on se trouve. Leurs conclusions permettent désormais d’estimer, avec un niveau de précision acceptable, le risque que le coronavirus se transmette d’humain à humain en différents lieux.

Drogues : en finir avec la démagogie

Par Cécile Prieur   Publié le 19 mai 2021

Depuis quelques années, le potentiel thérapeutique des substances psychédéliques est revisité aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Suisse. La France, elle, s’enferme toujours dans un discours répressif. « L’Obs » appelle à un débat apaisé sur le sujet.

LSD, MDMA, champignons hallucinogènes… Trois noms de substances classées stupéfiants et interdites à la vente, plus réputées pour leur consommation clandestine dans les milieux de la fête que pour s’afficher à la une de « l’Obs ». Trois noms de drogues qui recèlent aussi des propriétés thérapeutiques insoupçonnées et pourraient venir compléter la pharmacopée des troubles psychiatriques parmi les plus sévères. Depuis quelques années, un nouveau champ de recherche voit ainsi le jour en psychiatrie, une discipline où les avancées scientifiques sont pourtant peu nombreuses. Le potentiel thérapeutique des substances psychédéliques, qui avaient fait l’objet d’un véritable engouement médical lors de leur découverte dans les années 1950, est revisité : plusieurs pays, dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la Suisse, mènent actuellement des essais cliniques encadrés pour contrer les états dépressifs résistants aux traitements.


Pédophilie: un nouveau programme de thérapie en Suisse

par  NCI  Publié

Quatre institutions psychiatriques – à Genève, Bâle, Zürich et Frauenfeld – spécialisées dans la pédophilie s’unissent pour mettre en place un réseau de prévention à l’échelle nationale

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Le film «The Woodsman» (Nicole Kassell, 2004) aborde le thème de la pédophilie, à travers le retour de prison du personnage Walter (joué par Kevin Bacon).

Le film «The Woodsman» (Nicole Kassell, 2004) aborde le thème de la pédophilie, à travers le retour de prison du personnage Walter (joué par Kevin Bacon).

imago images / United Archives

En Suisse, près de 30 000 adultes présentent une attirance sexuelle pour les enfants, écrit le «TagesAnzeiger» dans un article paru ce mardi. Désignant à la fois une orientation sexuelle et un diagnostic psychiatrique, la pédophilie va faire l’objet d’une offre thérapeutique et d’une prévention plus globale en Suisse. Quatre institutions psychiatriques prévoient en effet de travailler conjointement, et une association devrait voir le jour fin mai.


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Accessibilité : langue des signes française pour communiquer en ligne avec Apple, et de nouveaux gestes pour l'Apple Watch

 




Mickaël Bazoge | 

Sans attendre la WWDC, Apple lève le voile ce soir sur une série de nouveautés en lien avec l'accessibilité. Une des plus significatives est SignTime : dès demain, jeudi 20 mai, les utilisateurs sourds pourront activer ce nouveau service pour communiquer avec les équipes AppleCare et Retail en langue des signes. Bonne nouvelle : en plus de la langue des signes américaine (ASL) et anglaise (BSL), le service est aussi disponible pour la LSF, la langue des signes française. Le tout sera visible directement depuis un navigateur web, y compris mobile.

Pour l'occasion, Apple a créé un dictionnaire en langue des signes (dans les trois langues) pour les termes utilisés par le constructeur. Un glossaire vidéo a ainsi été mis sur pied à destination de toutes les équipes. Cela n'a pas été sans mal pour certains mots comme « opérateur » qui peuvent avoir plusieurs sens.

Dans le courant de l'année, plusieurs mises à jour vont activer des fonctions d'accessibilité supplémentaires, à commencer par AssistiveTouch pour l'Apple Watch. C'est assez impressionnant : les utilisateurs pourront ainsi contrôler la montre avec des gestes de la main, sans avoir à toucher l'écran. Par exemple pour toucher un bouton de manière virtuelle :

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Le Texas adopte une loi interdisant d’avorter après six semaines de grossesse

Par L'Obs avec AFP Publié le 19 mai 2021

Le texte ne prévoit pas d’exception en cas de viol ou d’inceste et permet d’engager des poursuites au civil contre les médecins ou les structures qui aideraient une patiente à avorter, faisant de cette loi « l’une des plus extrêmes du pays », selon les associations pro-IVG.






Nouveau recul pour le droit à l’avortement aux Etats-Unis. Le gouverneur du Texas a signé ce mercredi 19 mai une loi interdisant d’avorter après six semaines de grossesse, dans le cadre d’une offensive menée par les Etats américains conservateurs contre l’interruption de la grossesse.

« La loi garantit que chaque enfant non né dont le cœur bat sera sauvé des ravages de l’avortement », a déclaré le républicain Greg Abbott en paraphant le texte qui ne prévoit pas d’exception en cas d’inceste ou de viol.

mercredi 19 mai 2021

Au Centre Pompidou, les femmes ont un fort pouvoir d’abstraction

Par   Publié le 19 mai 2021

Une vaste exposition réévalue l’apport des artistes féminines à ce langage plastique.

Lynda Benglis, en 1969, devant sa sculpture « Night Sherbet », dans son atelier de Baxter Street, à New York.

L’image est publiée dans Life, le 15 janvier 1951. Prise par la photographe Nina Leen, elle réunit le groupe alors dit des « Irascibles » : ceux que l’on appelle aujourd’hui les expressionnistes abstraits new-yorkais. Ils sont quatorze en costume cravate, de Mark Rothko en bas à droite à Willem de Kooning en haut à gauche, avec Jackson Pollock au centre. Ils ont l’air de mauvaise humeur. Parce que leur but est de protester contre le peu d’intérêt que leur manifeste alors le Metropolitan Museum ? Sans doute. Et pour une autre raison. Au fond, mais bien visible car montée sur une chaise, il y a une femme, Hedda Sterne, dont la peinture n’est pas moins expérimentale que la leur. Une sur quinze donc. Mais cela posait un problème à ces messieurs. « Ils étaient tous exaspérés que je sois sur la photo, car tous étaient assez machos et craignaient que la présence d’une femme empêche que cette photo soit prise au sérieux », a raconté Sterne plus tard. L’un des plus agacés est Barnett Newman. N’ont été conviées ni Lee Krasner, ni Elaine de Kooning, ni Helen Frankenthaler, bien qu’elles ne soient plus des inconnues à cette date.

mardi 18 mai 2021

Exposition «Peintres femmes», portraits cachés

par Philippe Lançon  publié le 17 mai 2021 

De la figure de proue Vigée Le Brun à ses consœurs oubliées, le musée du Luxembourg rend hommage à ces artistes qui se sont battues pour exister entre la Révolution et la Restauration, au travers d’œuvres intimes et subtilement politiques.

«Peintres femmes», et non «Femmes peintres» : la fonction avant le genre ; mais ce qui frappe d’abord dans l’exposition du musée du Luxembourg, outre la qualité de certains tableaux, portraits surtout, paysages aussi, c’est moins le sens du combat que la charge romanesque. Elle est d’abord due à l’accélération historique de l’époque choisie : Révolution, Empire, Restauration, de quoi décoiffer la bourgeoise la mieux peignée. En résumé, de la vie d’Elisabeth Vigée Le Brun, la plus célèbre des peintres femmes exposées, aux premiers romans de George Sand, écrits sous son nom d’épouse, Aurore Dudevant. C’est l’époque où les Françaises qui peignent, discriminées dans l’accès au métier, font des autoportraits. En France, il a fallu attendre la seconde moitié du XVIIIe siècle. En Italie, en Espagne, elles avaient commencé plus tôt. Les «grands sujets», comme la peinture d’histoire, leur sont partout étrangers ou interdits. Elles s’émancipent par les «petits».

Cadillac : la grève se poursuit à l’unité pour malades difficiles de l’hôpital psychiatrique

Par Jérôme Jamet Publié le 17/05/2021

Cadillac : la grève se poursuit à l’unité pour malades difficiles de l’hôpital psychiatrique

Le mouvement social a commencé mercredi 12 mai. Des assemblées générales sont organisées tous les jours à 13 h 30. © Crédit photo : Patricia Callen

Le blocage de l’UMD est prolongé jusqu’au 28 mai. Le personnel demande des renforts d’effectif

Le mouvement social se poursuit à l’hôpital psychiatrique de Cadillac, en Gironde. Depuis mercredi 12 mai, le personnel de l’unité pour malades difficiles (UMD) se relaie pour tenir le piquet de grève devant l’enceinte en béton.

Les grévistes dénoncent le manque de personnel prévu par le plan médico-soignant proposé par une société de conseil et qui remettrait en cause les engagements pris par la direction en 2019 pour actualiser les besoins en effectif de l’UMD au fil du temps.

« En psychiatrie, le manque d’effectif stable et formé augmente les mesures d’isolement et de contention pour les patients », souligne Jocelyne Goût, représentante du syndicat la CGT. « Cela fait trois ans que l’on s’épuise. On arrive au bout. Aujourd’hui, on n’arrive même plus à fournir les postes, c’est du jamais vu », alerte la syndicaliste.

Une semaine après le début du mouvement, la direction de l’hôpital n’a pas ouvert de discussion. D’abord prévue jusqu’au 18 mai, la grève est reconduite jusqu’au 26 mai.

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Plongée au cœur du service de psychiatrie du Centre hospitalier Alpes-Isère

Par Benoit LAGNEUX   le 18 mai 2021

Au Centre hospitalier Alpes-Isère (Chai), à Saint-Égrève, la psychiatrie est au cœur du quotidien. Le Dauphiné Libéré a pu rentrer au sein de l’unité Hélios où, de 16 ans jusqu’au troisième âge, des patients tentent de soigner leurs maux. A travers les témoignages de professionnelles de santé, mais aussi de patients, découvrez ce monde souvent fermé et mal compris qu’est la psychiatrie.


A la prison de Bedenac, en Charente-Maritime, des personnes âgées ou handicapées détenues dans des conditions indignes

Par   Publié le 18 mai 2021

Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté dénonce des atteintes aux droits de l’homme dans une unité pour détenus handicapés ou en perte d’autonomie.

Les lecteurs du Journal officiel de ce mardi 18 mai devront avoir le cœur bien accroché pour lire les recommandations du Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) sur cette « unité de soutien et d’autonomie » de la prison de Bedenac, en Charente-Maritime. Ce bâtiment, conçu pour accueillir des personnes détenues vieillissantes et à mobilité réduite, rivalisait de promesses en matière de prise en charge. Mais il a beau être de construction récente (2013), ce qu’il s’y passe fait davantage penser aux asiles de la première moitié du XXe siècle.

A l’issue d’une visite de six contrôleurs du 29 mars au 2 avril, l’autorité indépendante a décidé de saisir en urgence, le 16 avril les ministres de la santé, de la justice et de l’intérieur, en raison des « atteintes à la dignité et du non-respect du droit à la santé et à la sécurité » constatés, « constituant un traitement inhumain ou dégradant au sens de l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme ».

Pierre Guillet, un entrepreneur qui embauche en prison

Par     Publié le 17 mai 2021

PORTRAIT Ce dirigeant d’une PME dans les Yvelines a recruté deux détenus avec succès. Le projet de loi d’Eric Dupond-Moretti, examiné à l’Assemblée à partir du 17 mai, entend développer cette pratique encore peu répandue.

Pierre Guillet, PDG d’Hesion, le 10 mai 2021 au siège de son entreprise, à Achères. Sa société a un atelier à la maison centrale de Poissy où elle emploie deux détenus.

« Vous ne devinerez jamais ce que j’ai fait aujourd’hui. J’ai embauché Jésus ! » Clémence Guillet s’amuse encore du ton enjoué de son père, ce soir de septembre 2019. Entrepreneur de 54 ans et catholique pratiquant, Pierre Guillet revient alors de sa petite entreprise de matériel de détection de gaz, à Achères, dans les Yvelines. Le matin, il a fait un crochet par la prison voisine de Poissy, où vivent près de 200 détenus, condamnés à plus de quinze ans de réclusion. Il a décidé de recruter l’un d’eux pour rejoindre Hesion, sa société de 35 employés. Le dirigeant a choisi un homme de 59 ans, cheveux longs, barbe épaisse et tee-shirt floqué du slogan « Je suis innocent »Un détenu que tout le monde surnomme « Jésus ».

Soins infirmiers et diversité culturelle : savoir se positionner


 



18.05.21

Les règles autour de la pudeur, des soins et des échanges sont différentes selon les cultures et les croyances. Le soignant, pour lesquels les aumôniers demeurent des personnes ressources, est souvent hésitant sur le positionnement à adopter et le discours à tenir pour soigner sans heurter. Voici quelques notions, non-exhaustives, pour une meilleure prise en charge infirmière qui tient compte de la diversité culturelle de la patientèle.

Soins infirmiers et diversité culturelle

De nombreux éléments sont perçus par le patient à travers le prisme de sa culture et de ses croyances. Savoir les identifier et se positionner en conséquence est essentiel pour le respect de tous et l’adhésion aux soins


Certes, les religions exigent la transgression de tout interdit pour sauvegarder la vie ou l’intégrité physique ou mentale. Mais en tant que soignant, comment savoir si l’attitude adoptée est appropriée à la croyance et/ou à la culture de la personne qu’on soigne ? Mieux connaître les différents usages pour répondre aux attentes et aux besoins d’une patientèle plurielle est un atout pour prendre en soin en toute sérénité et dans le respect de la personne soignée, de la législation et de la règlementation hospitalière. Eclairage.

La meilleure attitude

La cohésion de l’équipe médicale et soignante sur le protocole à suivre, les horaires à respecter, le régime alimentaire… est essentielle. Son discours doit rester concordant en toute circonstance, surtout en cas de désapprobation du patient. Selon les origines, la prise en charge hospitalière diffère. En Afrique et en Inde par exemple, les repères que nous connaissons n’ont pas cours : ni horaire ni nombre limité de visiteurs, les repas et médicaments sont fournis par les familles, les soins d’hygiène effectués par un proche...

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HYPNOSE

 accueil

Parcours historique : jusqu'au 22 août 2021
Tony Oursler : jusqu'au 12 septembre 2021

L'exposition Hypnose explore, pour la toute première fois, une histoire culturelle de l’hypnotisme de Mesmer à aujourd'hui, et les liens étroits que les pratiques artistiques ont entretenus avec l’histoire de l’hypnotisme, de la fin du 18e siècle à nos jours.



Pour cette exposition, l’artiste américain Tony Oursler investit la Chapelle de l’Oratoire avec une installation inédite conçue spécifiquement pour le lieu.


Visuels des œuvres, photos de l'exposition, des visites et événements... Retrouvez l'exposition Hypnose en images.


Catalogue publié à l’occasion de l’exposition Hypnose.


Doté d’une importante collection d’art contemporain, le Musée d’arts de Nantes soutient la création d’aujourd’hui et permet à des artistes de diffuser leur travail...



Le 14 novembre 2020, la Nuit européenne des musées était virtuelle. Le

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