Jeudi, 18/04/2024
Les symptômes de l'anxiété sont nombreux et concernent de plus en plus. 21% des Français.es seront touché.es au cours de leur vie par des troubles anxieux, relate l’INSERM. Et les femmes sont jusqu’à deux fois plus affectées que les hommes. Une psyché dégradée, qu’il est encore difficile d’apaiser. Mais des chercheurs de l’Université d'Aberdeen (Écosse) auraient identifié une zone de notre ADN qui jouerait un rôle clé dans le contrôle de cette anxiété. En la ciblant, le quotidien de nombreuses personnes anxieuses pourrait être soulagé.
C'est en étudiant les gènes de souris que les scientifiques écossais.es sont parvenus à trouver un “interrupteur” génétique capable de contrôler l’anxiété : « nous savons déjà que 95 % des différences génétiques associées aux maladies se situent en dehors des gènes codant pour les protéines. Cette partie du génome, connue sous le nom de ‘génome non codant’, n'a pas été bien explorée », commence Alasdair Mackenzie, co-auteur de la nouvelle étude.
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