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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 28 mai 2018

Quid de la grande misère des hôpitaux psychiatriques en France ?

  Yves Calvi et Loïc Farge  28/05/2018


INVITÉS RTL - Thomas Mesnier, médecin urgentiste et député REM de la Charente, et Jean-Pierre Salvarelli, psychiatre et membre du Bureau national du Syndicat des psychiatres des hôpitaux, débattent de la détresse du milieu psychiatrique en France.

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Six salariés du centre hospitalier psychiatrique du Rouvray, près de Rouen, sont depuis une semaine en grève de la faim pour réclamer une cinquantaine d'embauches supplémentaires et pour lutter contre la surpopulation de leur établissement.

En conflit avec leur direction et avec l'Agence régionale de santé (ARS) depuis le 26 mars, ils ont décidé d'arrêter de se nourrir et d'occuper les locaux administratifs du centre pour faire entendre leurs revendications.


A Château-Thierry, une prison pour les «fous»

Le centre pénitentiaire de Château-Thierry se distingue par le fait qu’y sont détenues des personnes présentant de graves troubles psychiatriques, condamnées à de très longues peines, ballotées au fil des ans entre la prison et l’hôpital. Zoom sur une réalité qui reste injustifiable : l’incarcération de personnes dont la place n’est pas en prison.

JEAN DELAY AUJOURD’HUI : POUR UNE ÉTHIQUE DU DÉCLOISONNEMENT ENTRE PSYCHANALYSE, PSYCHIATRIE ET NEUROSCIENCES

JOURNÉE SCIENTIFIQUE DU 29 SEPTEMBRE 2018

AMPHITHÉÂTRE FARABOEUF – ECOLE DE MÉDECINE – PARIS

15, Rue de l’École de Médecine 75006 Paris

COMITÉ SCIENTIFIQUE ET D’ORGANISATION : PIERRE MARIE, MARC MASSON, YVES SARFATI

SOUS LA PRÉSIDENCE DE ERIC KANDEL, PRIX NOBEL DE MÉDECINE 2000

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PROGRAMME

9h
Florence Delay, Marc Masson - Allocutions de bienvenue
9h20
Eric Kandel, Prix Nobel de Médecine
Opening lecture
10h
Raphaël Gaillard - La schizophrénie comme pathologie de l’accès à la conscience
John-Dylan Haynes - What exactly does(n’t) neuroscience contribute to solving the problem of free will?

L’incidence de la mort subite inexpliquée n’a pas baissé pour les nouveau-nés…

24/05/2018

La définition du syndrome de mort subite inexpliquée du nourrisson (MSIN) importe beaucoup. Elle inclut la mort soudaine entre 1 mois et 1 an d’un enfant apparemment en bonne santé au cours du sommeil. Aux USA, le CDC définit le syndrome par l’âge avant un an, le caractère soudain et inexpliqué et une cause non immédiatement évidente avant investigations. Le concept de mort inattendue du nourrisson (MIN) inclut en France comme aux USA (sudden unexpected infant death, SUID) les cas accidentels par suffocation comme ceux de cause inconnue. Les décès par maltraitance étant exclus par l’autopsie, il reste de rares cas de MIN par malformations ou maladies génétiques. Le collapsus post-natal inattendu fait référence aux nouveau-nés de plus de 35 semaines de gestation, avec un Apgar >7 qui décèdent soudainement pendant leur première semaine. Ces différences de définition rendent compte des difficultés d’interprétation des statistiques.

Marcel Rufo : « On devrait interdire la psychiatrie aux pessimistes »

Je ne serais pas arrivée là si… « La Matinale du Monde » interroge une personnalité en partant d’un moment décisif de son existence. Cette semaine, le pédopsychiatre raconte son enfance fondatrice de petit immigré italien ayant grandi à Toulon.

LE MONDE Propos recueillis par 

Marcel Rufo à Paris, le 16 avril.
Marcel Rufo à Paris, le 16 avril. YANN BOHAC / MARLYSE PRESS

Célèbre spécialiste de l’enfance, professeur émérite de l’université d’Aix-Marseille, le pédopsychiatre Marcel Rufo, 73 ans, qui consulte encore à Marseille, a dirigé La Maison de Solenn, à Paris, et publié une trentaine de livres. Il prépare un nouvel ouvrage pour conseiller les parents d’« enfants tyrans ».

Je ne serais pas arrivé là si…

… Si mes parents n’avaient pas été revendeurs en fruits et légumes au cours Lafayette, à Toulon, à côté de l’école que je fréquentais. Ils vendaient des melons, des grenades, des nougats, mes enseignants étaient leurs clients. En 3e, j’ai passé le concours de la « petite Ecole normale », celle d’instituteur, et j’ai réussi. Compte tenu de mon milieu social, c’était une accélération incroyable d’accéder à cette grande noblesse intellectuelle. Mais le proviseur, sa femme et un prof de maths sont descendus au « banc » de légumes de mes parents et leur ont dit : « Laissez-le continuer, il peut faire mieux qu’instit’. »

A Paris, une exposition réunit des œuvres autour de la résilience

Isabelle Alvaresse   30/05/2018.





Laddie John Dill
Installation de l’artiste américain Laddie John Dill, pour l’exposition Talismans - Le désert entre nous n’est que du sable. Guillaume Pazat
Comment se reconstruire après un traumatisme ? La commissaire Sarina Basta propose une série de réflexions à la Fondation Gulbenkian.

Rennes : la plus ancienne détenue de France bénéficie de la première grâce présidentielle d'Emmanuel Macron

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avec France Bleu ArmoriquefranceinfoRadio France27/05/2018 
Cette femme de 74 ans avait été condamnée à perpétuité pour meurtre. Selon son avocate, la grâce présidentielle lui a bien été accordée.
Le centre hospitalier spécialisé Guillaume-Régnier à Rennes.Le centre hospitalier spécialisé Guillaume-Régnier à Rennes. (MAXPPP)

La plus ancienne détenue de France, une femme de 74 ans emprisonnée depuis 33 ans, va bien bénéficier de la toute première grâce présidentielle accordée par Emmanuel Macron, rapporte France Bleu Armorique dimanche 27 mai, confirmant une information du Journal du dimanche.
Cette femme âgée est hospitalisée d’office en psychiatrie depuis 21 ans en raison de sa santé mentale fragile. Née en Guadeloupe, elle avait été incarcérée en 1985 puis condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité pour meurtre en 1988. Elle purgeait sa peine à Rennes.

Il faut revoir de fond en comble les formations en médecine

GUY VALLANCIEN / membre de l’Académie de médecine

 Nous devons repenser l'intégralité du cursus universitaire traditionnel de la médecine.


La formation initiale des médecins et des infirmiers est devenue inadaptée à une prise en charge plus globale des malades, des blessés et des handicapés qui sonnent à la porte du système de soins.
Nous devons sortir de nos habitudes ancestrales et de nos filières cloisonnées pour lancer le schéma d'un cursus partagé reposant sur le constat suivant : tout acte réalisé chez les patients doit être considéré comme médical, impliquant d'en finir avec la division malsaine entre les infirmiers classés dans les professions dites paramédicales et les médecins. Cette étanchéité entre les métiers est un frein majeur à l'harmonisation des procédures mises en place dans les parcours de soins, particulièrement pour  les maladies chroniques et du vieillissement qui explosent.

Ce système de santé s’autodétruira dans…

25.05.18

La qualité des soins en chute libre, les soignants s’engagent toujours plus pour pallier cette dégradation. Résultat : la situation devient intenable ! Tel est le constat de cette nouvelle enquête réalisée auprès de plus de 2000 professionnels de santé dont la majorité était des infirmiers. Ceux-ci jugent aujourd’hui la qualité des soins "très moyenne" et sont "pessimistes" quant à son évolution…

Mention tout juste passable ! Les médecins et les infirmiers en exercice jugent que la qualité des soins en France mérite à peine la moyenne alors que notre système de santé est considéré comme un des meilleurs du monde. C’est ce que révèle une enquête en ligne réalisée par 360 médics en partenariat avec Egora. Elle démontre notamment une dégradation importante du système de soins sur ces cinq dernières années.


Patients psychiatriques : une étude incite à mieux dépister les psychotraumatismes

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Aude Lecrubier     17 avril 2018

Paris, France—Quelle place faut-il accorder aux psychotraumatismes dans la genèse et le développement des troubles psychiatriques ? Une étude présentée par le Dr Olivier Fossard (chef du service de psychiatrie, établissement public de santé mentale Montfavet) lors du 12ème congrès Médecine Générale France suggère qu’elle devrait être plus importante que celle qu’on lui accorde aujourd’hui.
En évaluant la proportion de patients psychiatriques tout-venant qui a été exposée à une situation traumatique au cours de sa vie au sein du pôle de soins psychiatriques Avignon Sud Durance (patients hospitalisés temps plein, CATTP, HDJ, CMP et CASP), les Drs Fossars, Lahya et coll. ont constaté que 72 % des patients avaient des antécédents psychotraumatiques.

Inégalités. Dans 104 pays, certains emplois sont interdits aux femmes

28/05/2018





Une femme travaille dans une usine de textile à Mumbai, en Inde, le 8 mars 2018. REUTERS/Francis Mascarenhas
C’est au nom de la protection du soi-disant “sexe faible” que certains secteurs d’activité sont réservés aux hommes, essentiellement dans les pays en développement.
Si les pays riches cherchent à éliminer la discrimination sexuelle au travail, dans de nombreux pays en développement, les différences de traitement restent flagrantes. Ainsi, selon la Banque mondiale, les femmes ne sont pas autorisées à exercer certains emplois dans 104 pays [ce qui restreint les perspectives d’emploi de plus de 2,7 milliards d’entre elles].
“Quand le droit du travail garantit l’égalité entre les sexes, on observe que davantage de femmes travaillent et gagnent plus que les hommes”, souligne Sarah Iqbal, [responsable du projet Les Femmes, l’Entreprise et le Droit] de la Banque mondiale.

Pas question de saigner des animaux

Pourtant, certains pays publient des listes d’emplois jugés trop dangereux pour les femmes (456 en Russie, parmi lesquels la conduite d’un train ou d’un bateau). D’autres leur ferment l’accès à certains secteurs, leur interdisent de travailler la nuit ou d’exercer des emplois “moralement répréhensibles”(au Kazakhstan, elles n’ont pas le droit d’étourdir et de saigner le bétail). Dans quatre pays, on ne les autorise pas à immatriculer une entreprise et, dans 18, un homme peut empêcher son épouse de travailler.

dimanche 27 mai 2018

Combats de femmes de mai 68 à #MeToo

LE MAGAZINE DE LA RÉDACTION par Aurélie Kieffer

25/05/2018
55 MIN

Quelle était la place des femmes en mai 68 ? Comment la conscience féministe a-t-elle émergée ? Quelle regard portent-elles sur la libération sexuelle et sur le mouvement #MeToo ? A Paris, Nantes et Marseille, Sophie Delpont est allée à la rencontre de ces femmes qui ont lutté pour leurs droits.
Une manifestation étudiante à Paris, le 30 mai 1968. Quelle place pour la femme ?
Une manifestation étudiante à Paris, le 30 mai 1968. Quelle place pour la femme ?  Crédits : Reg Lancaster - Getty
50 ans après mai 68, et les combats des féministes dans les années 70, le mouvement de libération de la parole #MeToo sur les réseaux sociaux résonne avec un écho particulier pour les femmes qui ont fait mai 68. Nous revenons avec elles sur le chemin parcouru et sur les combats qu'il reste encore à mener en 2018, avec Sophie Delpont.
Avec #MeToo, c'est exactement dans la continuité de nos agitations des années 70 ! On est dans le vif du sujet !
Anne Zélensky est présidente de la Ligue du droit des femmes, cofondée en 1974 avec Simone de Beauvoir, après avoir créé avec Jacqueline Feldman, un groupe féministe à la fin de l'année 1966, appelé Féminin Masculin Avenir (FMA) .

samedi 26 mai 2018

Et si la démarche qualité était la mort de la qualité ?

Paris, le samedi 26 mai 2018 – Le malaise traversé par l’hôpital public, qui concerne tout autant la souffrance des professionnels de santé que la dégradation de la prise en charge des patients, occupe une place majeure non seulement dans les médias mais aussi dans les préoccupations du gouvernement. Pour y répondre, des pistes sont avancées, parfois présentées dans un verbiage qui trahit une certaine incertitude, voire une interdiction. On parle par exemple de "certification", de "procédures de contrôle", de "démarche qualité". Au-delà du fait que ces formules demeurent souvent creuses, de telles perspectives inquiètent. Si le diagnostic est partagé, le traitement divise. Faut-il réellement renforcer les "démarches qualité" et les "procédures" en tous genres pour guérir un hôpital qui semble déjà tant souffrir du carcan administratif ?

Une agonie de qualité

En guise de réponse, le docteur Laurent Vercoustre propose sur son blog Focale hébergé par Le Quotidien du médecin une anecdote éclairante. Le gynécologue obstétricien évoque la visite peu avant son départ à la retraite d’un inspecteur de la Haute Autorité de Santé (HAS) dans le cadre de « la phase 3 du processus d’accréditation » de son établissement, autant de termes dont le docteur Laurent Vercoustre reconnaît qu’ils le déconcertent. « Sa seule question fut : "et chez vous comment ça se passe pour les fins de vie ? ". Je le regardai éberlué, il me posait cette question, comme un inspecteur des ventes d’une grande surface aurait demandé à son vendeur si le dernier modèle d’écran plat se vendait bien.

Samu : quand la défiance s’installe




Paris, le jeudi 17 mai 2018 - C’est désormais inévitable. Tout fait divers marquant s’accompagne d’une déferlante de témoignages évoquant des situations similaires. Tout se passe comme si tous voulaient appartenir à cette expérience collective de la manifestation du malheur. « Moi aussi… » est le début de tous ces récits. Les médias traditionnels participent à ce chœur en lançant des appels à témoignage. L’affaire Naomi Musenga ne pouvait échapper à une telle tendance et c’est ainsi que des centaines de personnes ont raconté comment ils avaient été éconduits, parfois brusquement, par des agents régulateurs du Samu (médecins ou non) et comment la fatalité n’avait pas toujours pu être évitée. Bien sûr on ne racontera pas toutes ces fois où l’agent du Samu rassure, envoie immédiatement une ambulance médicalisée, passe un interlocuteur médecins qui saura poser les questions les plus pertinentes. On racontera encore moins toutes ces fois où l’on a appelé en pleurant, convaincu d’une gravité exceptionnelle, et où finalement le diagnostic de grippe ou de gastro-entérite s’est imposé. 

Urgences à Paris : vive Kafka !

| 26.05.2018


Corine Katz est rédactrice, traductrice et auteur d’adaptations de films et documentaires, de nouvelles... En pleine polémique sur les urgences, elle témoigne de sa mésaventure en février dernier, lors de la vague de froid à Paris. Multifracturée, suite à une chute sur le sol glacé, elle raconte les urgences parisiennes bondées où affluaient les nombreuses victimes des intempéries et le parcours du combattant qu’elle a mené à l'époque...
« Je n’en veux absolument pas à Cochin qui n’a pas pu m’opérer », explique-t-elle avec le recul. Simplement, ces budgets coupés à l’hôpital me révoltent. À travers ce texte, j’ai voulu dénoncer aussi l’incurie politique », la Ville de Paris n’ayant pas mis, selon elle, les moyens qu’il aurait fallu pour rendre accessibles ce soir-là stations de métro et trottoirs.

Alzheimer : la HAS publie un guide pour le diagnostic et le parcours de soins avant un possible déremboursement des anti-Alzheimer

| 25.05.2018


La Haute Autorité de santé (HAS) publie ce 25 mai un guide consacré au parcours de soins de la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée (MA), qui souligne le rôle du généraliste et insiste sur la coordination entre les acteurs. 
« C'est un sujet capital qui concerne beaucoup de monde (entre 850 000 à un million de personnes selon les sources, N.D.L.R.) ; ces maladies restent sous-diagnostiquées ou diagnostiquées tardivement, les dispositifs sont mal connus des professionnels et des familles », a dit la Pr Dominique Le Guludec, présidente de la HAS.

UN JOUR AVEC... Arnaud, infirmier aux urgences

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  • Publié le 
Le quotidien d'un urgentiste au CHU de Saint-Denis de La Réunion
© Réunion la 1ère
© RÉUNION LA 1ÈRE
  •  “ Un jour avec Arnaud, infirmier au CHU de Saint-Denis ”.


« TOUT ENSEIGNANT EST ENSEIGNÉ, TOUT ENSEIGNÉ EST ENSEIGNANT »

Logo Le nouveau magazine littéraire
25/05/2018

Elle a filmé les initiatives individuelles d'enseignants dans son documentaire « Une idée folle ». Judith Grumbach puise dans ces exemples l'espoir d'une pédagogie nouvelle, à l'écoute de la jeunesse.

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Judith Grumbach  Réalisatrice du documentaire « Une idée folle » (Ashoka France/Horizons Productions).

Transcription :
« Être enseigné », je vous avoue que j’ai un peu bloqué sur ces deux mots avant d’écrire ce texte, parce que cette formulation me paraissait un peu absurde, particulièrement sa forme passive. Ça m’a fait penser à mes cours de physique au lycée. J’ai le souvenir assez précis qu’on a tenté de m’enseigner la physique en classe de seconde. En revanche, je n’ai aucun souvenir d’avoir appris quoi que ce soit. On peut être enseigné sans apprendre, mais on apprend aussi très souvent sans être enseigné. 
Personne ne vous a expliqué le fonctionnement anatomique de vos membres inférieurs avant que vous ne fassiez vos premiers pas. Personne ne vous a non plus enseigné la grammaire avant que vous ne composiez vos premières phrases. On apprend tous, tous les jours, seul, en groupe, en famille, on apprend en lisant, par l’expérience. On apprend en discutant, et même parfois par hasard, ou sans le savoir.

La fatigue, un mal contemporain avec Eric Fiat et Dalibor Frioux

LA GRANDE TABLE (2ÈME PARTIE) par Olivia Gesbert
25/05/2018
34 MIN

Pourquoi sommes-nous si fatigués, pourquoi burn-outons nous ? Pour élucider ce mal du siècle, Éric Fiat, qui publie "Ode à la fatigue" et Dalibor Frioux qui publie "Eloge du sommeil à l’usage de ceux qui l’ont perdu".
Gravure du XIXe : hypnose ou sommeil hypnotique : phase de la catalepsie induite grace a une suggestion, la raideur caracteristique du corps.
Gravure du XIXe : hypnose ou sommeil hypnotique : phase de la catalepsie induite grace a une suggestion, la raideur caracteristique du corps. Crédits : ©The Holbarn Archive/Leemage - AFP
Trouble du sommeil, fatigue chronique, insomnie… Si vous ressentez l’un de ces maux, cette émission est pour vous !

Sur la télémédecine, la CNAM et le SML souhaitent accélérer, la FMF freine des quatre fers

Camille Roux
| 25.05.2018



Téléconsultation
BURGER/PHANIE

La CNAM espérait signer l'avenant conventionnel numéro 6 sur la télémédecine avant l'été. Cette ambition est aujourd'hui fragilisée. Si le SML du Dr Vermesch a annoncé ce vendredi qu'il signerait l'avenant pour « amorcer le dispositif » (91 % de son conseil d'administration ayant voté pour), la FMF demande encore des améliorations. Le syndicat du Dr Jean-Paul Hamon a en effet demandé à Nicolas Revel hier jeudi de rouvrir une séance de négociations supplémentaire, faute de quoi elle ne signerait pas.