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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

jeudi 21 janvier 2021

Pour ne pas déprimer, bougez. Et si vous l’êtes, bougez quand même !


Pascale Santi  Publié le 20 janvier 2021

CHRONIQUE

En temps de Covid-19, propice à la morosité, il n’est pas facile de maintenir une activité physique régulière. Or, celle-ci prévient et combat la dépression. 

C’est une évidence : le sport, c’est bon pour le moral. Marcher en forêt, faire une séance de yoga, dévaler une piste de ski… goûter ces plaisirs fait du bien. L’universitaire anglais Robert Burton n’écrivait-il pas dans son livre Anatomie de la mélancolie, publié en 1621, que le manque d’activité constituait l’une des causes de celle-ci ? « Il est impossible de préserver sa santé sans exercice physique »,disait-il. Une référence citée dans une étude parue le 5 janvier dans le British Journal of Sports Medicine, qui confirme cette intuition.

mercredi 20 janvier 2021

Epimédicaments : y’a pas que l’ADN dans la vie

LE 13/01/2021

À retrouver dans l'émission

LA MÉTHODE SCIENTIFIQUE

par Nicolas Martin

A quoi sert l’épigénome ? Dans les cas de cancer, quels sont les mécanismes et les acteurs qui viennent perturber l’épigénome ? Quels sont les moyens de diagnostic et de thérapie épigénétiques actuels ?

Que connaît-on des liens qu’il peut y avoir entre la génétique et l’épigénétique dans l’apparition d’un foyer cancéreux ?
Que connaît-on des liens qu’il peut y avoir entre la génétique et l’épigénétique dans l’apparition d’un foyer cancéreux ? Crédits :  MR.Cole_Photographer - Getty

Pendant longtemps, on a pensé que l’ADN, c’était la vie. Que nous étions déterminés uniquement par notre génome, que tout était écrit, dans ces brins, noir sur blanc, en quatre lettre et puis c’est tout. Du coup, les cancers étaient eux aussi, pour beaucoup, liés à notre génome. Comment pouvait-il en être autrement ? Et puis petit à petit, cette forteresse génétique a commencé à se fissurer, à être prise d’assaut. Par quoi ? Par l’environnement. C’est le début de l’épigénétique et avec elle, l’espoir de pouvoir influer, directement, sur le développent épigénétique des cancers. Et s’il était possible de contrer l’influence de l’environnement sur les gènes. Et s’il était possible d’inventer des épimédicaments ?

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Cannabis récréatif

Assemblée nationale

Cannabis récréatif - consultation citoyenne

Information sur cette consultation

Période de consultation : du 13 janvier au 28 février 2021

Origine : Mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis 

La mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis a été créée en janvier 2020. Composée de 33 députés issus de tous les groupes politiques représentés à l’Assemblée et de six commissions permanentes différentes ( voir la composition). Présidée par Robin Reda (Les Républicains), la mission a pour rapporteur général Jean-Baptiste Moreau (La République en Marche).

Objectifs de la consultation

La mission a d’abord consacré ses travaux au cannabis thérapeutique, publiant un premier rapport sur cet enjeu ( disponible ici). Elle a ensuite mené un cycle d’auditions sur chanvre dit « bien-être » (cannabidiol, composé du cannabis sans effet stupéfiant) qui donnera lieu, en janvier 2021, à la publication d’un rapport de Ludovic Mendes, rapporteur thématique sur ce sujet (La République en Marche).  

Depuis novembre 2020, la mission d’information a entamé un cycle d’auditions sur le cannabis « récréatif » – entendu comme l’ensemble des usages actuellement illégaux du cannabis en France – plus particulièrement conduits par la rapporteure thématique, Caroline Janvier (La République en Marche). L’ensemble des auditions a fait l’objet d’une diffusion sur le site de l’Assemblée nationale (consultables ici), dans un objectif de transparence.

[...]

Accéder à la consultation

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Psychologue: une profession en voie d’extinction dans le réseau public

Lundi, 18 janvier 2021

En plus d’observer une augmentation de l’utilisation des antidépresseurs chez les Québécois pendant la pandémie (0, 8 janvier 2021), on note une hausse des symptômes compatibles avec une dépression majeure ou un trouble d’anxiété généralisée dans les derniers mois.  

Un jeune adulte sur deux est maintenant affligé par de tels symptômes. De plus, les idéations suicidaires sérieuses sont plus répandues et les homicides intrafamiliaux plus fréquents depuis la pandémie. Derrière ces chiffres d’une tristesse infinie se trouvent des gens qui souffrent, des gens qui ont souvent essayé plusieurs choses pour aller mieux par eux-mêmes, mais qui n’y arrivent tout simplement pas. Certains prennent leur courage à deux mains et demandent de l’aide psychologique, une aide essentielle à laquelle ils ont droit. Et que leur offre-t-on en retour ? 

[...] Des psychologues désertent la profession 

Au Québec, plusieurs psychologues ont donné leur démission à la suite de l’implantation de ce programme dans leur milieu de travail puisqu’ils n’étaient plus en mesure d’aider les gens comme ils devaient être aidés. Et malheureusement, plusieurs autres psychologues songent à emboîter le pas puisqu’on exige d'eux de terminer une psychothérapie, alors que la personne est encore en souffrance ou d’utiliser une approche spécifique ou des questionnaires qui ne correspondent pas aux besoins de l’individu. 

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Enfants en détresse : «on ne sait plus trop comment les aider»

Lundi, 18 janvier 2021

La santé mentale des enfants et adolescents a été mise à rude épreuve depuis le début de la pandémie, mais les ressources mises à leur disposition sont limitées, particulièrement dans le réseau public. Une situation «alarmante» qui pousse plusieurs professionnels à lever un drapeau rouge. 

«Il y a beaucoup d’enfants qui viennent nous voir pour des problèmes de santé mentale. Il y en avait déjà beaucoup, mais depuis la pandémie, leur nombre a augmenté. Les enfants sont en détresse et leur famille aussi.»

[...] Manque criant de psychologues

C’est justement ce manque de suivi par des psychologues qui inquiète le milieu de la santé mentale jeunesse. Lundi, 904 membres de la Coalition des psychologues du réseau public québécois (CAPP) ont signé une lettre concernant le manque de psychologues dans le réseau public.

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mardi 19 janvier 2021

Sept films qui nous font éprouver le confinement

Publié le 12 janvier 2021

Les salles de cinéma étant (toujours) fermées, voici notre sélection quotidienne de films à voir en replay, VOD ou en streaming.

Dans « Funny games » de Michaël Haneke, deux adolescents en quête de divertissement trouvent leur distraction dans la torture.

LA LISTE DE LA MATINALE

La menace d’un reconfinement plane au dessus de nos têtes épuisées. En langage cinématographique, le confinement s’appelle un huis clos et prend souvent la figure du cauchemar. En voici quelques uns, pour mieux exorciser le nôtre.

« Fenêtre sur cour » (1954) : chef d’œuvre de l’immobilité

En temps de confinement, tout le monde n’a pas la chance de posséder un appareil photo muni d’un puissant téléobjectif et de fréquenter Lisa Fremont, une fille intrépide.

Psychologues et psychothérapeutes

CNESST

QUEBEC

En tant que psychologue ou psychothérapeute, vous intervenez parfois auprès d’une travailleuse ou d’un travailleur qui a un accident du travail ou une maladie professionnelle. Trouvez dans cette section tout ce que vous devez savoir sur la tarification, la facturation et la fourniture de soins de psychologie ou de psychothérapie.

Les rôles et responsabilités liés au traitement et au suivi psychologiques du travailleur qui a subi une lésion professionnelle.
Intervention des psychologues, des psychothérapeutes et des neuropsychologues à la demande d’un médecin dans le cas d’une lésion professionnelle
Intervention des psychologues, des psychothérapeutes et des neuropsychologues à la demande de la CNESST dans le cas d’une lésion professionnelle


Du Covid à l’écologie : "Le confinement est définitif" alerte le penseur Bruno Latour

18/01/2021

Par Frédéric Martel

Entre écologie et humanités numériques, Bruno Latour repense nos vies à l’heure du Covid. Figure atypique venue des sciences, catholique pragmatique, il dénonce à la fois les dérives de la mondialisation comme le retour au "local". Et publie son nouveau livre : "Où suis-je ?"

Bruno Latour
Bruno Latour Crédits :  Manuel Braun

Bruno Latour a le don d’ubiquité. Cet hiver, il est partout à la fois – ce qui veut dire nulle part. Il est le principal curateur de la biennale de Taipei, qui a ouvert ses portes le 21 novembre, mais elle sera, faute de touristes, essentiellement réservée aux Taïwanais. Il co-dirige l’exposition « Zones critiques » au Zentrum für kunst und mediem de Karlsruhe, présentée jusqu’en aout 2021 de manière intermittente, en fonction du confinement allemand. Il enseigne à Sciences Po Paris, où il a créé SPEAP, un enseignement « d’expérimentation en Arts Politiques » – qui n’a plus lieu que sur Zoom. Il est aussi le fondateur du Medialab français, un « laboratoire de recherche interdisciplinaire sur la place du numérique dans nos sociétés », confiné lui aussi.

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Les privations de liberté en raison d’un handicap : causes, freins et leviers

n° 254 - Janvier 2021

Magali Coldefy1, Marieke Podevin2, Stéphanie Wooley3
avec la collaboration de Maria Gomezet Emma Cassagneau2

Les hospitalisations sans consentement en psychiatrie et l’accueil d’adultes en situation de handicap – majoritairement psychique ou mental – dans des structures d’hébergement médico-social recouvrent des situations souvent traumatisantes et douloureuses pour les personnes et leurs familles, mais aussi pour les professionnels. Selon le rapport de l’Orga- nisation des Nations Unies (Onu) sur les droits des personnes handicapées, ces situations peuvent constituer des privations de liberté spécifiques au handicap, contraires à l’article 14 de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. A partir d’entretiens réalisés avec les différents acteurs impliqués dans ces situations (personnes en situation de handicap, proches, représentants d’associations, professionnels de santé, directeurs d’établissements sanitaires et sociaux, décideurs politiques et la Contrôleure générale des lieux de privation de liberté), cette étude cherche à mieux comprendre les causes de ces situations et les moyens de les éviter.

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Les premiers pas de la psychiatrie en lien avec les auteurs d'abus

RCF, La Joie se partage

Présentée par Marie-Jo Thiel    

L'Eglise catholique face aux abus sexuels sur mineurs

Avec cette émission, Marie-Jo Thiel acceuille un nouvel invité, Pr J.G. Rohmer, psychiatre au CHU de Strasbourg et responsable du CRAVS. C'est l'occasion d'évoquer la figure des auteurs d'abus (sexuels et autres).

Depuis quelques décennies, les abus sexuels et autres sont mieux reconnus. Les passages à l'acte n'en restent pas moins mystérieux. Cette émission avec un nouvel invité en la personne de J.G. 

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Trois collégiens mis en examen après le suicide d’Evaëlle, victime de harcèlement scolaire


 



Le Monde avec AFP  Publié le 18 janvier 2021

En juin 2019, la collégienne de 11 ans s’est pendue au barreau de son lit. Trois élèves, âgés de 11 ans au moment des faits, sont mis en examen pour harcèlement. 


Des photographies d’Evaëlle, qui s’est suicidée il y a un an et demi.

Un an et demi après le suicide d’Evaëlle, une collégienne de 11 ans, ses parents cherchent toujours des réponses. Trois adolescents de 13 ans ont été mis en examen pour harcèlement, rapporte lundi 18 janvier le parquet de Pontoise, confirmant une information du Parisien.

Les vrais jumeaux, des « doubles » pas tout à fait parfaits


 



Par   Publié le 19 janvier 2021

En moyenne, le génome des jumeaux monozygotes diverge par cinq mutations très précoces, qui peuvent être transmises à leurs descendants, montre une étude dans « Nature Genetics ».

Deux jumeaux participant au Festival Twins Days, à Twinsburg, Ohio (Etats-Unis), en août 2019.

Les « vrais jumeaux », des doubles parfaits ? Pas tout à fait, confirme, chiffres à l’appui, une étude publiée le 7 janvier dans la revue Nature Genetics. Ces « clones naturels », à la ressemblance si troublante qu’on les confond souvent, sont issus de la fécondation d’un seul et même ovule par un seul et même spermatozoïde – comme tout enfant. Sauf qu’ensuite, au moment du développement des cellules embryonnaires, celles-ci vont se scinder pour permettre le développement de deux embryons : les futurs jumeaux. On les dit « monozygotes » (issus d’un même œuf). A priori, ils partagent donc un même génome : celui de l’embryon initial, avant sa division.

Mais il faut nuancer, comme le montre cette étude islandaise dirigée par Kari Stefansson, de l’université de Reykjavik. Pionnier dans l’utilisation de la génétique à l’échelle de la population pour comprendre les variations de séquence du génome humain, il est aussi le fondateur et PDG de la société biopharmaceutique deCODE genetics.

Troubles de l'apprentissage de l'enfant : fait-on trop de diagnostics ? L'avis d'une psy

 Sophie Carquain  

Multidys, TDAH, haut potentiel… de plus en plus d’enfants relèvent de ces troubles de l'apprentissage, selon des bilans effectués par des professionnels. A tort, d’après la psychologue Emmanuelle Piquet, qui, avec son dernier livre, jette un pavé dans la mare.

« En recevant les bulletins de CE2 de Tibo, j’ai pensé qu’il était flemmard et n’avait pas assez travaillé. Mais la professeure m’a convoquée pour me dire qu’il avait un comportement bizarre, agité et fanfaron. Elle a émis l’hypothèse d’un trouble de l’attention. On a consulté un neuropsychologue dans la foulée, qui a confirmé le diagnostic », raconte Coralie. Dyslexie, dyspraxie, précocité, TDA avec hyperactivité ou non : en une petite dizaine d’années, les troubles liés aux difficultés d’apprentissage ont flambé. Alertée par ce phénomène, la psychothérapeute Emmanuelle Piquet publie avec Alessandro Elia, psychologue, Nos enfants sous microscopeTDA/H, hauts potentiels, multi-dys & Cie : comment stopper l’épidémie de diagnostics (Payot). Un livre qui risque de créer la polémique…

Une explication qui peut soulager

« Ce qui pose d’abord problème, analyse Emmanuelle Piquet, c’est le fait que l’on psychiatrise et médicalise les états d’âme. Il suffit de jeter un coup d’œil sur le DSM-5, le catalogue des affections psy, pour y lire de nouvelles “maladies”, comme “trouble oppositionnel”, “hyperphagie incontrôlée” (le fait de manger trop) ou “tristesse pathologique” (quand on continue à pleurer deux mois après un deuil). C’est comme l’horoscope, tout le monde peut s’y retrouver ! ». En outre, selon la psychologue, cette épidémie de diagnostics ne permet pas toujours d’améliorer les troubles. « Dans mon cabinet, confie la psychothérapeute, je vois arriver pléthore d’enfants qui, après avoir été testés, cherchent encore une façon d’aller mieux ».

Un avis que ne partage pas la psychologue Jeanne Siaud­-Facchin, spécialiste des enfants surdoués et en difficulté d’apprentissage. Pour elle, mettre le doigt sur un trouble permet de le soigner. « On a une cartographie nette de ce que l’on est et, au moins, on cesse d’accuser l’enfant d’être “paresseux”, ce qui est la double peine pour lui », souligne­-t-­elle. Nombre de parents peuvent le confirmer. « Adèle était en grande souffrance à l’école, raconte Elyane.Quand nous avons su qu’elle était multidys et souffrait d’un trouble anxieux, on a pu demander une prise en charge. C’est un soulagement énorme ».

Emmanuelle Piquet le reconnaît : « Je ne nie pas du tout que ça puisse être aidant dans certains cas. Comme dans celui de June, qui, à 13 ans, était en grande difficulté dans sa relation avec autrui. Quand elle a su qu’elle était “Asperger”, ça l’a beaucoup aidée. Elle savait qu’elle ne pourrait être comme les autres et qu’il lui faudrait impérativement apprendre certains codes pour pouvoir communiquer avec eux ».

Attention à l’effet Golem

Mais, Emmanuelle Piquet n’en démord pas, souvent, la désignation du trouble ne fait qu’aggraver la situation : « Le diagnostic n’est pas psychodégradable, regrette la psychothérapeute, et poser une étiquette risque de figer un comportement à un moment donné, alors que chez l’enfant tout est en devenir ». Et la psy d’insister : « Le risque est de paralyser l’enfant dans son symptôme. Et de l’empêcher d’évoluer. C’est ce que les spécialistes nomment la prophétie autoréalisatrice. Dites à un enfant qu’il est timide ou anxieux, il peut s’en persuader. On appelle cela l’effet Golem, l’inverse de l’effet Pygmalion », dénonce Emmanuelle Piquet.

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A Sevran, un jardin maraîcher pour allier deux « besoins essentiels » : se nourrir et travailler


Par un matin frais de décembre, à l’heure où la terre givrée crisse encore sous les pas, Samuel bêche et griffe le sol, tandis qu’Angelica s’occupe du monticule de compost et qu’Erdinc surveille les plants de mâche sous serre. A Sevran (Seine-Saint-Denis), à quelques minutes de la gare de RER, entre le stade Jean-Guimier et le quartier du Pont-Blanc, le jardin Aurore est un lieu à part : ici, on produit soixante-dix variétés de légumes bio sur un peu plus de 1,2 hectare. Pas de professionnels du maraîchage, les dix-huit salariés sont en insertion, en contrat aidé sur plusieurs mois, le temps de remettre le pied à l’étrier et de bénéficier d’un accompagnement social.

UNE JOURNEE UNIQUE AVEC ... FREDERICK WISEMAN


Dimanche 24 janvier
 
depuis le Reflet Médicis

avec la 25ème heure !


E-tickets ICI


Dimanche 24 janvier à 14h :

TITICUT FOLLIES, doc, 1h24

 

"Bridgewater (Massachusetts), 1967. Frederick Wiseman tourne Titicut Follies, son premier film, dans une prison d’État psychiatrique et atteste de la façon dont les détenus sont traités par les gardiens, les assistants sociaux et les médecins à l’époque. Ce qu’il révèle a valu au film d’être interdit de projections publiques aux États-Unis pendant plus de 20 ans. Témoin discret et vigilant des institutions, Frederick Wiseman pose, avec Titicut Follies, les bases de ce qui fait son cinéma depuis 50 ans."





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lundi 18 janvier 2021

"Le colibri" de Sandro Veronesi

publié le 

"Le colibri" raconte un monde en morceau, un amour et une famille atomisée, une tragédie familiale sur fond de psychanalyse… Un roman qui interroge la question de la transmission, une grande fresque sur un amour manqué. " Augustin Trapenard

Sandro Veronesi et Le colibri
Sandro Veronesi et Le colibri © AFP / Ulf Andersen -Aurimages-

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Covid-19 : face au mal-être, que valent les applications de santé mentale ?

Maxime Recoquillé   
publié le 

D'après l'American Psychological Association, il existerait déjà plus 20 000 applications destinées à nous aider à mieux dormir, contrôler notre stress, nous donner des raisons d'être heureux, voire, comme BetterHelp et Talkspace le proposent, de réaliser des consultations thérapeutiques par vidéo.

D'après l'American Psychological Association, il existerait déjà plus 20 000 applications destinées à nous aider à mieux dormir, contrôler notre stress, nous donner des raisons d'être heureux, voire, comme BetterHelp et Talkspace le proposent, de réaliser des consultations thérapeutiques par vidéo.

Getty Images/EyeE


Anxiété, burnout, sommeil perturbé... Ce n'est pas un secret, les confinements et couvre-feux visant à contrer la propagation du Covid-19 n'épargnent pas la santé mentale des Français. La situation des étudiants suscite actuellement l'inquiétude après le suicide de l'un d'eux, à Lyon, il y a un peu plus d'une semaine. Santé publique France a mis au point une rubrique spéciale sur son site internet ainsi qu'un numéro vert, le 0800 130 000, disponible 24h/24, pour aider les plus fragiles. D'autres ressources existent. 


Le Japon face à la hausse des suicides

Publié le 

Le taux de suicide a augmente de 16 % entre juillet et octobre, d'apres une etude menee par des chercheurs de l'Institut de gerontologie de Tokyo et l'universite de Hong Kong. (Photo d'illustration)

Les suicides avaient été moins nombreux lors de la première vague de Covid-19 au Japon, grâce aux aides du gouvernement. Malheureusement, la tendance s'est drastiquement inversée lors de la seconde vague, note The Guardian. Le taux de suicide a augmenté de 16 % entre juillet et octobre, d'après une étude menée par des chercheurs de l'Institut de gérontologie de Tokyo et l'université de Hongkong.

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Crise sanitaire : des aides psychologiques disponibles

Publié le :  
Vendredi 15 janvier 2021

Générique Santé mentale

Confinement ou non, maladie ou pas, la crise sanitaire fragilise la santé mentale de tous : de nombreuses solutions existent pour être accompagné par des professionnels, Rouen.fr fait un tour d'horizon.

Parce que la Covid aura bousculé plus que nos habitudes, nombreux sont ceux qui se sentent en détresse psychologique. Source d'angoisse, d'isolement, de tristesse, d'épuisement, de stress ou bien sûr de gestion du deuil, la pandémie actuelle peut également mettre à mal la santé mentale. Les professionnels, déjà organisés depuis le printemps dernier, continuent de répondre aux besoins de chacun.

Grand public

  • Numéro vert mis en place par le Gouvernement, le 0 800 130 000 est ouvert 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. La plateforme téléphonique est spécialement dédiée à du conseil face aux troubles que l'ont peut ressentir face à l'épidémie.
  • L'association Terra Psy continue elle aussi de proposer ses services aux Normands plus spécifiquement. Elle déploie une cellule de consultation téléphonique (gratuite, anonyme et confidentielle), joignable en semaine, de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h au 0 805 383 922. A noter que les psychologues de Terra Psy peuvent intervenir en français, en anglais ou en arabe.
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