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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 1 avril 2019

Quelles Habitudes Prendre Pour Conserver Une Bonne Santé Mentale ?

Forbes



Quelles habitudes prendre pour garder une bonne santé mentale ? Réponse d’Andrew Chapin, fondateur et PDG de Basis, une application destinée à aider les gens à faire face à l’anxiété. Il s’agit ici d’habitudes visant à maintenir le bien-être mental général et non à traiter une maladie mentale diagnostiquée.
En parler : Nous vivons dans une culture qui exerce une pression sur les gens pour qu’ils « se débrouillent » lorsque des émotions ou des moments difficiles surgissent. Parler, que ce soit avec un ami ou un thérapeute, est essentiel au traitement et à la régulation de nos propres émotions. Ce n’est pas un signe de faiblesse. Il est très facile de souffrir de distorsions cognitives lorsque la seule façon de traiter ses émotions se trouve dans sa propre tête.

Faire de l’exercice : De nombreuses études ont montré une corrélation entre le maintien de la santé cardiovasculaire et la santé mentale positive.

Musique et psychiatrie : orchestrer la rencontre Le regard des chercheurs et des professionnels

Lieu : Haute Ecole de Musique de Lausanne, rue de la Grotte 2 Dates : un jeudi / vendredi fin janvier 2020

[...]
Appel à communication 
Dans le contexte des soins en psychiatrie, le rôle et l’apport de la musique commencent à être étudiés, notamment dans une perspective médicale. Les recherches visant à documenter les effets de la musique sur des patients souffrant de différentes affections psychiques ont mis en évidence qu’au niveau physiologique, elle peut induire de la relaxation, diminuer la douleur ainsi que la pression sanguine et ralentir le rythme cardiaque et respiratoire (Lin et al., 2011). Au niveau neurologique, elle active différentes aires du cerveau et semble avoir un impact sur la cognition et la régulation émotionnelle (Morgan, 2010). Au niveau psychologique, elle peut contribuer à améliorer l’état de patients souffrant de dépression et de schizophrénie (Hsu & Lai, 2004). Chez les patients souffrant de démence, elle semble entraîner une réduction de l’agitation (Hicks-Moore & Robinson, 2008), de l’anxiété (Sung, Chang, & Lee, 2010), de la dépression (Raglio et al., 2015), ainsi qu’une augmentation de la qualité de vie (Raglio et al., 2015) et de la performance cognitive (Sarkamo et al., 2014). 


La maladie mentale fait partie de la diversité

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LUC J. VIGNEAULT  Auteur et acteur   29 mars 2019 

Québec

POINT DE VUE / En réaction au Point de vue «Message québécois pour la Journée mondiale du théâtre 2019» de Widemir Normil paru le 27 mars.

J
e voudrais attirer votre attention sur la diversité abordée par Widemir Normil dans son texte sur la Journée mondiale du théâtre. Il y a évoqué les cultures, les langues, les religions et les orientations sexuelles. Or, un groupe d’oubliés y brille par son absence : les gens aux prises avec une problématique de santé mentale… et j’en suis !

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La première cartographie complète de la latéralisation des fonctions cérébrales


Psychiatrie de l’enfant. Un hôpital comme à la maison

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Stéphane Jézéquel    Publié le 01 avril 2019
Les trois permanents de l’hôpital de jour et d’autres membres de l’équipe médicale dédiée au fonctionnement de ce pôle de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, sur les hauteurs de Châteaulin.
Les trois permanents de l’hôpital de jour et d’autres membres de l’équipe médicale dédiée au fonctionnement de ce pôle de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, sur les hauteurs de Châteaulin. (Le Télégramme/Stéphane Jézéquel)

On s’y sent comme à la maison ! Situé dans un banal pavillon de lotissement, sur les hauteurs de Châteaulin, l’hôpital de jour Saint-Exupéry existe depuis 1992. On y accueille des enfants présentant des difficultés dans la relation aux autres et des retards dans les apprentissages.

Une matinée portes ouvertes était organisée, samedi, à l’hôpital de jour Saint-Exupéry. Le personnel chargé de présenter les activités de cette structure à taille humaine était aux petits soins pour les parents et les professionnels de santé venus à leur rencontre. Jeunes souffrant de troubles du développement et du spectre autistique, retards dans les apprentissages, dans la relation aux autres… La prise en charge de ces enfants âgés de 2 à 12 ans s’effectue en groupe de six au maximum. Le matin ou l’après-midi, les trois professionnels (un infirmier, une infirmière et une éducatrice spécialisée) assurent les activités sur place (à l’intérieur ou dans le jardin) ou lors de sorties thématiques.


Mémoire de nos mères


Une grossesse, lorsque l’on est historienne, se révèle une expérience extrêmement féconde, y compris du point de vue professionnel. C’est en tout cas ce que démontre la britannique Sarah Knott, professeure d’histoire à l’université de l’Indiana à Bloomington. Sa grossesse l’a poussée à s’interroger sur l’évolution de la maternité au fil des siècles, donnant naissance à Mother, un essai dans lequel elle exhume les archives personnelles et les lettres provenant de mères ayant vécu du XVIIe siècle à nos jours, en Amérique du Nord et en Grande-Bretagne.

Écrit à la première personne, l’ouvrage de Knott entremêle le récit de ces femmes à celui de l’expérience intime de l’auteure. « Ce procédé est fécond parce qu’il permet au lecteur d’expérimenter l’un des thèmes majeurs du livre : l’interruption. En cherchant dans des lettres des descriptions de la maternité, Knott est tombée sur des lettres courtes, interrompues et inachevées, qui donnent un aperçu de ce qu’est la maternité et de la façon dont le temps est découpé en segments sur lesquels nous n’avons aucun contrôle », commente Lara Feigel dansThe Guardian.

Issy-les-Moulineaux : la Tour aux figures va retrouver ses couleurs

Estelle Dautry|31 mars 2019


Issy-les-Moulineaux, samedi 30 mars 2019. François Gibault, président de la fondation Dubuffet, attendait depuis des années que des travaux aient lieu. LP/Estelle Dautry

Trente ans après son installation sur l’île Saint-Germain, l’œuvre de Jean Dubuffet va connaître sa première restauration. Elle sera achevée cet automne.

« C’est une tour mythique ! Il y a peu d’œuvres du XXe siècle classée aux monuments historiques ». François Gibault, le président de la fondation Dubuffet, est ravi. Enfin, après des années de tergiversations, le chantier de rénovation de la Tour aux figures, sur l’île Saint-Germain, a été lancé ce samedi.
« Elle a mal vieilli, constate-t-il tristement. Il n’y a eu aucun entretien pendant trente ans et forcément ça se voit. La surface n’est pas lisse, il y a des petits trous tout le long de la sculpture et des insectes sont venus pondre, sans compter les intempéries. » Selon le spécialiste, il aurait fallu passer le nettoyeur à haute pression une fois par an mais l’Etat, propriétaire du bâtiment jusqu’en 2015, ne l’a jamais fait.

dimanche 31 mars 2019

Denis Mukwege, Prix Nobel de la paix : « Je demande à la communauté internationale de s’élever contre les viols qui continuent en RDC »

Le « docteur qui répare les femmes » se bat depuis des années contre le viol comme arme de guerre.
Propos recueillis par Annick Cojean Publié le 30 mars 2019
Des femmes victimes de violences sexuelles dans un camp de déplacés près de Goma, en République démocratique du Congo, en 2013.
Des femmes victimes de violences sexuelles dans un camp de déplacés près de Goma, en République démocratique du Congo, en 2013. HABIBOU BANGRE / AFP
Le docteur Denis Mukwege, Prix Nobel de la paix 2018 avec la jeune Yézidie Nadia Murad, était l’un des principaux inspirateurs de la conférence sur les violences sexuelles en zone de conflit qui a eu lieu au Luxembourg, les 26 et 27 mars, à l’initiative de la grande-duchesse Maria Teresa.
Devant un auditoire de 1 200 personnes comprenant plus d’une quarantaine de survivantes de viols de guerre, des responsables d’ONG, des élus et représentants de gouvernements européens, de la Cour pénale internationale et de l’ONU, il a appelé la communauté internationale à reconnaître les souffrances des survivantes, à mettre fin à l’impunité des agresseurs et à soutenir la création d’un Fonds global de réparations. Puis il a répondu à quelques-unes de nos questions.

Les femmes de l'art brut sortent de l'ombre



AUTRICHE

Par Florence Millioud-Henriques le 31 mars 2019

ExpositionÀ Vienne, «Flying High» offre le premier tour du monde des créatrices de la marge en plus de 300 œuvres. Parmi les prêteurs, la Collection de l’art brut mais aussi des collectionneurs vaudois.


Plusieurs générations de créatrices se croisent dans cette exposition. Dont Ida Buchmann (1911-2001) avec ses gouaches et Julia Krause-Harder (1973) avec ses drôles de dinosaures.
Plusieurs générations de créatrices se croisent dans cette exposition. Dont Ida Buchmann (1911-2001) avec ses gouaches et Julia Krause-Harder (1973) avec ses drôles de dinosaures.Image: DR
Un jour, Rosa Marbach en a eu assez; elle a laissé tomber son pinceau, abandonné ses «balleteuses» en chaussons comme «Mademoiselle Julie» et ses blondeurs de princesse. Son nom ne nous dit peut-être rien, et pour cause: il a peu compté dans l’histoire de l’art brut, la Soleuroise s’en étant elle-même retirée, estimant son psychiatre plus intéressé par les travaux d’un autre de ses patients, un homme, Adolf Wölfli.
Mais plus significatif encore, en 1922, le nom d’Else Blankenhorn (1873-1920) était carrément zappé dans la publication historique sur la collection du psychiatre et historien de l’art Hans Prinzhorn. Pour expliquer ce trou de mémoire, les thèses varient! Une fois, la faute revient à l’éditeur qui aurait demandé de couper le chapitre la concernant, une autre c’est l’auteur qui se serait retenu pour pouvoir développer le sujet dans une monographie. «Laquelle… n’a jamais été publiée, ni même existé», précise Hannah Rieger, commissaire de «Flying High» à voir au Kunstforum de Vienne. Collectionneuse activiste, c’est elle qui a eu l’idée de cette première exposition entièrement dédiée aux femmes dans l’art brut.

samedi 30 mars 2019

Quand la misère du monde s'invite au cabinet

Sabrina Moreau

| 30.03.2019


Les médecins de famille deviennent parfois des observateurs privilégiés de l’Histoire. Lorsque les premiers migrants ont « débarqué » dans sa « petite ville », ils ont rapidement intrigué le Dr Brigitte Tregouët, généraliste à la Roche-sur-Yon. Elle les a fait entrer dans son cabinet. Rudes récits de vie à l'appui, son livre* expose les défis de la "médecine transculturelle".

Maquette livre

Ce jour-là en consultation, le Dr Tregouët dessine des spermatozoïdes pour les barrer ensuite. Son patient étranger, désireux d’être père, comprend alors qu’il est stérile. Le crayon, c’est tout ce qu’elle a trouvé, faute d’interprète disponible. La sexagénaire ne peut s’empêcher de s’interroger : « Fait-on des enfants lorsqu’on n’a ni papier, ni logement, ni travail ? »
C’est pourtant en s’efforçant tenir tout jugement à distance que cette “généraliste humaniste” exerce son métier, désormais essentiellement tourné vers les migrants. Elle en tire de riches enseignements, qu’elle transmet aujourd’hui dans un cours sur la médecine transculturelle à la faculté de Nantes.

Pontarlier : les infirmiers demandent des postes supplémentaires

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Par Catherine Eme-Ziri    Publié le 30/03/2019
Pontarlier : les infirmiers demandes des postes supplémentaires / © D. CollePontarlier : les infirmiers demandes des postes supplémentaires / © D. Colle
Infirmiers des urgences et infirmiers de psychiatrie ensemble dans les rues du centre ville de Pontarlier : ces professionnels de santé demandent des créations de postes aux urgence et le maintien des effectifs en psychiatrie.
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Endométriose : au travail, les femmes précarisées

Par Juliette Deborde et Marlène Thomas — 
Une manifestante lors de la marche organisée à l'occasion de la journée mondiale contre l'endométriose, en mars 2018 à Paris.
Une manifestante lors de la marche organisée à l'occasion de la journée mondiale contre l'endométriose, en mars 2018 à Paris. AFP


Cette maladie qui touche entre 2 et 4 millions de femmes en France peut générer une fatigue chronique et de très fortes douleurs. Difficultés de tenir son poste, arrêts, temps partiels mettent à mal les carrières professionnelles des patientes. Le monde du travail se montre peu adapté.

Y a t-il des handicapés ?

LA SUITE DANS LES IDÉES par Sylvain Bourmeau
19/01/2019
44 MIN

Contrairement à l'impression mais aussi aux pratiques administratives, le handicap ne saurait se définir médicalement. Pour le comprendre, il convient, comme l'a fait Romuald Bodin, d'en proposer une appréhension sociale qui porte une attention particulière aux institutions.
pictogrammes du handicap
pictogrammes du handicap
Y a t-il des handicapés ? La question peut surprendre. tant le mot est passé dans le langage courant. Non seulement le mot mais le groupe, au-delà des personnes qu'il désigne : les handicapés. Un groupe social qui fait à ce titre l'objet d'une politique publique, notamment dans le cadre défini par la loi de 2005. Mais qu'y a t-il de commun entre un aveugle, une personne sur une chaise roulante, un dyslexique et un "débile léger", pour reprendre une catégorie médico-administrative ? Il y a l'administration, précisément. Unique. La Maison du handicap. Un mot, donc, pour désigner des situations définies médicalement et qui sont pourtant toutes extraordinairement différentes. Comment le comprendre ? Il fallait pour cela une sociologie originale du handicap. C'est chose faite avec la parution de « L'Institution du handicap » de Romuald Bodin. Il est cette semaine l'invité de La Suite dans les idées. Et sera rejoint en seconde partie par un personnage de roman, bien réel, la juriste Anne-Sarah Kertudo.
Le site de l'association Droit pluriel est consultable ici 
Romuald Bodin et Anne-Sarak Kertudo
Romuald Bodin et Anne-Sarak Kertudo Crédits : Sylvain Bourmeau - Radio France

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Des associations s’alarment de la forte hausse des suicides en prison

En 2018, 131 personnes se sont donné la mort en détention, soit 14 de plus qu’en 2017. Un des chiffres les plus élevés d’Europe.
Par Jean-Baptiste Jacquin Publié le 29 mars 2019
Le nombre de suicides de personnes détenues a atteint en 2018 un pic jamais égalé depuis au moins dix ans avec 131 personnes décédées, contre 117 en 2017. L’essentiel de ces passages à l’acte intervient dans la prison (119 contre 103 en 2017), tandis qu’un plus petit nombre (12 contre 14) a lieu hors des murs (à l’hôpital, en permission de sortir, etc.). Selon une étude interne extrêmement détaillée que Le Monde s’est procurée, la direction de l’administration pénitentiaire relativise néanmoins ce constat en observant que par rapport au nombre de détenus, qui a lui aussi atteint un record en dépassant les 70 000, le taux de suicide (16 pour 10 000) est inférieur à ceux de 2016 (16,3 pour 10 000) ou 2009 (18,3 pour 10 000).

Le désarroi des familles d’enfants autistes face aux soupçons des services sociaux

Des parents dénoncent des enquêtes menées à leur encontre par la protection de l’enfance, en raison de la méconnaissance du handicap de leur enfant.
Par Solène Cordier Publié le 30 mars 2019
« Mère fusionnelle », « nomadisme médical », « syndrome de Münchhausen par procuration »… Les mêmes termes se retrouvent, de dossier en dossier, pour caractériser les comportements des parents d’enfants autistes qui se retrouvent dans le viseur de l’aide sociale à l’enfance (ASE). De nombreuses familles dénoncent depuis des années, sans rencontrer grand écho, l’acharnement dont elles s’estiment victimes et qu’elles attribuent à la méconnaissance, en France, des manifestations des troubles du spectre autistique (TSA).
Pour elles comme pour les autres, bien souvent, tout commence avec un courrier, envoyé par les services sociaux du département. La famille destinataire apprend à sa lecture qu’une « information préoccupante », concernant un ou plusieurs de ses enfants, a été émise à son encontre, sans qu’elle sache nécessairement par qui, ni pourquoi. Ces procédures d’alerte, qui permettent de signaler un enfant en danger ou en risque de danger, peuvent être faites par les institutions en contact avec les enfants – l’éducation nationale étant un gros pourvoyeur – ou par des particuliers. Elles déclenchent une enquête administrative qui a pour objectif, justement, d’évaluer le danger supposé, et peut à terme conduire à une saisie du parquet.

IVG : Jusqu’où les médecins peuvent-ils faire jouer une "clause de conscience" ?

LA QUESTION DU JOUR par Guillaume Erner
26/03/2019
7 MIN

La clause de conscience des médecins a, une nouvelle fois, fait l’objet de débats. Vendredi, au moment de l’examen du projet de loi Santé, plusieurs députés ont demandé à supprimer cette clause de conscience invoquée par des médecins qui refusent de pratiquer l’IVG.
Photo de manifestants mobilisés pour la défense du droit des femmes et pour améliorer leur accès à l’avortement, 40 ans après le vote de la Loi Veil, ayant permis de légaliser l’IVG en France. Photo prise à Paris le 17 janvier 2015.
Photo de manifestants mobilisés pour la défense du droit des femmes et pour améliorer leur accès à l’avortement, 40 ans après le vote de la Loi Veil, ayant permis de légaliser l’IVG en France. Photo prise à Paris le 17 janvier 2015. Crédits : LIONEL BONAVENTURE AFP
En septembre, des sénateurs avaient déjà déposé une proposition de loi en ce sens, suite aux propos du président du Syndicat national des gynécologues, qui avait assimilé l’IVG à un homicide. En quoi consiste cette clause ? Jusqu’où les médecins peuvent-ils l’invoquer ?

Cholet. Se mettre dans la peau d’une personne atteinte de schizophrénie

Vincent TROUCHE    le 



Une expérience immersive pour mieux comprendre comment est vécue la maladie de l’intérieur.
LABORATOIRE JANSSEN

Dans le cadre de la Semaine d’information sur la santé mentale (SISM), un casque de réalité virtuelle permettra de découvrir les symptômes de la maladie, samedi 30 mars, place Rougé, dans l’hypercentre. D’autres animations accompagneront l’événement.
« Tu n’es même pas capable de ranger » , lance une voix masculine. « Tu ne vas jamais ramener ce DVD » , accuse une voix féminine. Je tourne la tête à droite : personne. À gauche : pareil. Devant : ça ne vient pas non plus de la télévision.