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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

lundi 2 octobre 2017

Cinopsy’s va mettre les stars sur le divan

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03 octobre 2017
(Quand les comportementalistes avancent masqués et font leur show) [Note du blogger]

Deux parrain et marraine cette année, l’humoriste Alex Lutz et l’écrivaine Mazarine Pingeot © Studiocanal / Bernard Barbereau
Dès ce jeudi, le festival Cinopsy’s est de retour, avec toujours l’objectif de mêler culture et psychothérapie afin de populariser cette dernière. Et à nouveau de prestigieux invités.
Pour cette 2e édition centrée sur la famille, ce n’est pas une – Sylvie Testud l’an dernier – mais deux personnalités de premier ordre qui officieront comme parrain et marraine du festival imaginé par la Fédération française de psychothérapie et psychanalyse. On y croisera d’une part l’humoriste et réalisateur Alex Lutz, qui évoquera l’impact de la célébrité, et l’écrivaine Mazarine Pingeot, présente toute la durée du festival pour débattre à l’issue de chacun des cinq films proposés.

Des personnels manifestent devant le siège de l'AP-HP pour dénoncer leurs conditions de travail

Anne Bayle-Iniguez
| 02.10.2017




APHP
Crédit Photo : S. Toubon

150 hospitaliers ont manifesté devant le siège de l'Assistance publique – hôpitaux de Paris (AP-HP), ce lundi matin, pour dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail et l'impact de la réforme du temps de travail du CHU francilien sur les organisations. 
Sous l'impulsion des syndicats SUD et USAP-CGT, les hospitaliers ont donné de la voix alors que se tenait en même temps dans les locaux de l'avenue Victoria un comité technique d'établissement central entre leurs représentants et le directeur général de l'institution, Martin Hirsch. 

Une enquête met en évidence la surcharge de travail chez les soignants hospitaliers

02.10.2017
Infirmières et aides-soignants qui œuvrent dans nos établissements ne comptent pas leur temps. C'est du moins ce qui ressort de l'enquête menée par la CFDT Santé. Entre le 13 et 19 mars l'avis de 2 587 infirmières et aides-soignants de différentes catégories (bloc opératoire, puériculture, anesthésie), exerçant en majorité dans le secteur public ont été interrogés sur leur journée de travail. 34,6 % ont déclaré avoir travaillé plus longtemps que la durée prévue : la moitié moins de trente minutes, 35 % moins d'une heure. Temps supplémentaire qui s'explique par la transmission des consignes à l'équipe suivante ou par l'achèvement de soins en cours dans l'unité. Et qui ni sera récupéré, ni rémunéré pour 45 % des salariés concernés.

« Consultez un gériatre » : le conseil en vidéo d'une société savante aux personnes âgées

Marie Foult
| 02.10.2017



Societe gériatrie
Crédit Photo : SFGG

Après les jeunes gériatres, c'est au tour de la Société française de gériatrie et de gérontologie (SFGG) de mettre en avant le rôle du gériatre, à l'occasion de la Journée internationale des personnes âgées qui avait lieu le 1er octobre et de sensibiliser « aux problèmes et aux difficultés que pose le vieillissement dans le monde actuel ».
Surtout, le but est ici d'encourager les seniors et leur entourage « à consulter un gériatre pour prévenir, maintenir ou restaurer leur perte d’autonomie »« La gériatrie est une discipline médicale qui s’est adaptée à l’évolution démographique », précise la SFGG, qui rappelle que les médecins gériatres « sont des spécialistes du vieillissement ayant une approche globale du malade ».
Ils assurent la coordination des différents professionnels intervenants auprès des patients et cherchent à maintenir « le meilleur état de santé possible à ses patients grâce à un plan de soin personnalisé », indique la société savante, qui a par ailleurs tourné une vidéo pour l'occasion.
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Homéopathie : la charge des académies des sciences européennes qui demandent le non remboursement

Dr Lydia Archimède
| 02.10.2017

« Il n'existe, pour aucune maladie, aucune preuve, scientifiquement établie et reproductible, de l'efficacité des produits homéopathiques - même s'il y a parfois un effet placebo », déclarent des chercheurs européens regroupés au sein du Conseil scientifique des Académies des sciences européennes (EASAC). 
Par cette déclaration, l'EASAC souhaite « encourager et soutenir » les décideurs de l'UE d'adopter une approche plus explicitement fondée sur des preuves pour évaluer les prétentions relatives à l'homéopathie.
Effet placebo, nocivité
Constitué des académies scientifiques nationales des États membres de l'Union européenne ainsi que de la Norvège et de la Suisse, l'EASAC s'appuie sur le travail déjà réalisé par les académies membres, en particulier l'Académie royale suédoise des sciences. « Chaque cas, pour lequel une efficacité clinique d'un produit homéopathique a été revendiquée, peut s'expliquer par l'effet placebo, une mauvaise conception de l'étude, des variations aléatoires, une régression des résultats vers la moyenne ou un biais de publication », déclare le conseil.

Blois, les Lobis : Raymond Depardon présente 12 Jours

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3 octobre 2017
12 Jours en avant Première aux Lobis en présence de Raymond Depardon, c’est vendredi 13 octobre à 20h.
Le grand documentariste Raymond Depardon qui viendra débattre autour de son dernier film, 12 Jours, qui sera présenté à Blois pour une avant-Première exceptionnelle. Il sera accompagné de Claudine Nougaret (sa productrice), Marion Primevert (magistrate), Nathalie Giloux (psychiatre) et de Denys Robiliard (avocat au Barreau de Blois, ex-député de Loir-et-Cher).

Une Bénédiction Mondiale de l’Utérus ?

4 OCTOBRE 2017




«Le 5 octobre, rejoins plus de 160.000 femmes à travers le monde pour recevoir gratuitement et à distance la Bénédiction Mondiale de l’utérus.» Sur Internet, un nombre croissant de femmes «se connectent» sur le Divin Féminin. Secte ?

«À l’aube des religions, dieu était femme. Vous en souvenez-vous ?» Au sein du mouvement écoféministe, qui rassemble autant d’écoles que le mouvement féministe lui-même, il existe une légende. La légende est la suivante : au début, les femmes qui étaient les égales des hommes accomplissaient les rituels d’une religion «naturelle» dédiée au principe de vie, féminin, symbolisé par les Venus préhistoriques. Puis les hommes instaurèrent une religion du dieu mâle et transcendant. Ils séparèrent un espace sacré, situé dans les cieux, d’un espace naturel situé ici-bas, rendant possible la destruction conjointe de la planète terre et des femmes. Bien évidemment, toutes les écoféministes ne «croient» pas en cette légende, mais toutes s’y réfèrent comme à un récit fondateur de leur mouvement.

Santé mentale. Hyper-controverse sur l’hyperactivité

Une association de parents organise un colloque vendredi à Nanterre, sponsorisé par des labos. Des voix s’élèvent contre une médication inconsidérée des troubles de l’enfance.
Des enfants en souffrance, des parents désemparés, des médecins qui se déchirent et des autorités sanitaires prudentes... C’est un cocktail explosif qui entoure ce que d’aucuns présentent comme un « fléau sous-diagnostiqué » en France et d’autres comme une « maladie inventée », dont le seul but serait de vendre des boîtes de médicaments. Désigné par un acronyme quelque peu barbare, le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) serait l’addition de trois symptômes : l’inattention, l’impulsivité et, donc, l’hyperactivité motrice. Soutenu par le président de la République et la ministre de la Santé, un colloque, organisé par l’association de parents HyperSupers TDAH France, se propose, ce vendredi, dans les locaux de l’université de Nanterre (Hauts-de-Seine), de faire le point sur « l’accès aux soins » de ce trouble controversé, qui concernerait entre 3,5 et 5,6 % des enfants d’âge scolaire, essentiellement des garçons.

Les TDAH, une catégorie fourre-tout sans base scientifique



« Demain et tous les autres jours » : Noémie Lvovsky flirte avec la folie

La réalisatrice opte pour l’onirisme dans ce duo mère-fille contaminé par la maladie.

LE MONDE  | Par 

Noémie Lvovsky et Luce Rodriguez dans le film français de Noémie Lvovsky, « Demain et tous les autres jours ».
Noémie Lvovsky et Luce Rodriguez dans le film français de Noémie Lvovsky, « Demain et tous les autres jours ». F COMME FILM/GAUMONT DISTRIBUTION/FRANCE 2 CINÉMA

L’avis du « Monde » – à voir



Cette critique ne sera pas bien longue. Pour préserver le charme fragile et ­fascinant qu’invoque Noémie ­Lvovsky, il faudrait en tenir un ­ingrédient caché. Celui-là même qui fait d’un récit tragiquement banal un enchantement plein de périls et d’illuminations. La tâche est pratiquement impossible puisque la bande-annonce du film de la réalisatrice de Camille redouble le dévoile.

D’expérience, pourtant, je peux vous dire que l’irruption de cet élément a tout à gagner de la surprise, que son arrivée, si elle reste inopinée, vous rendra – et à juste titre – d’une grande bienveillance à l’égard de Demain et tous les autres jours. Ce que l’on peut dire pour l’instant : Mathilde (Luce Rodriguez) vit avec sa mère (Noémie Lvovsky), qui titube au bord de la folie. Pas une banale dépression, non. Le genre de mal qui vous fait prendre le train en pleine nuit alors que votre enfant attend votre retour. Qui vous fait croire aux méchantes intentions des autres et à l’affection d’étrangers.


"Infirmier·ère·s", "directeur·rice·s"... Et si le masculin ne l'emportait plus ? Pourquoi l'écriture inclusive dérange

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B-A-BA - Les éditions Hatier ont récemment publié un manuel scolaire entièrement rédigé en écriture inclusive, en incluant le féminin. Pour ou farouchement contre, le débat sociétal est relancé. Mais au fait, pourquoi cette méthode cristallise-t-elle autant de tensions ?

"Grâce aux agriculteur·rice·s, aux artisan·e·s et aux commerçant·e·s, la Gaule était un pays riche." Voici une phrase rédigée en écriture inclusive que peuvent désormais lire vos enfants de CE2, si toutefois le manuel Magellan et Gagilée Questionner le monde est disponible dans leur salle de classe. En publiant ce livre scolaire, les éditions Hatier ont mis les pieds dans le plat. Et lancé le débat sur un type d'écriture qui ne donne plus forcément la priorité au masculin, mais accorde au féminin les fonctions, les titres et les métiers.

A l'instar de la suppression du mot "mademoiselle" sur les formulaires administratifs, l'arrivée de l'écriture inclusive irrite. On ne compte plus les réactions indignées depuis que les éditions Hatier ont fièrement annoncé la commercialisation du manuel polémique. Elles viennent de La Manif Pour tous - qui déplore un "mouvement idéologique, égalitariste et même paranoïaque" - ou encore du chroniqueur Raphaël Enthoven, qui sur Europe 1 craint "une agression de la syntaxe par l'égalitarisme". 


“Ma santé passe par mes microbiotes” Campagne nationale d’information



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DÉCOUVRIR L’ÉVÉNEMENT

Une campagne nationale d’information en octobre 2017 dans 10 villes de France pour sensibiliser et informer le grand public sur les liens entre microbiotes et santé.
1- Des conférences et des animations interactives dans 10 villes de France :
Paris, Lille, Strasbourg, Nantes, Limoges, Bordeaux, Toulouse, Marseille, Aix en Provence, Lyon
  • 13 conférences, animées par des médecins pour découvrir de façon pédagogique et interactive l’impact des microbiotes sur la santé

dimanche 1 octobre 2017

Soins psychiatriques et lutte antiterroriste, la confusion entretenue








Paris, le samedi 30 septembre 2017 – Fin août, le ministre de l’Intérieur suggérait qu’une collaboration plus étroite entre les psychiatres et les services de police serait nécessaire pour mieux prévenir le passage à l’acte terroriste. Ces déclarations ont suscité le trouble dans la communauté médicale, en raison notamment de la méconnaissance de la réalité de la maladie mentale qu’elle suppose et de la stigmatisation qu’elle encourage vis-à-vis des patients. Pour nous, le docteur Paul Machto, fondateur du collectif des 39 contre la nuit sécuritaire, qui avait vu le jour au moment où Nicolas Sarkozy défendait une réforme des soins en psychiatrie (qui a été beaucoup combattue par les praticiens), revient sur cette confusion entre soins psychiatriques et lutte antiterroriste en démontrant son absurdité, son caractère réducteur et en invoquant les esprits protecteurs de nombreux spécialistes de l’âme.
Par le docteur Dr Paul Machto*
Le nouveau pouvoir veut doter l’arsenal de lutte contre le terrorisme d’un nouveau champ : les malades mentaux et la psychiatrie !
Lorsque les politiques sont confrontés aux limites de prévoir l’imprévisible, ils se rabattent sur les personnes malades et les psychiatres !
Ces derniers, d’ailleurs, sont tantôt suspectés de faire preuve de légèreté irresponsable sinon de "laxisme" en faisant sortir de leurs services des individus "potentiellement" dangereux, tantôt de maintenir hospitalisés contre leur gré des personnes malades.
Certes, la dérive des pratiques depuis une vingtaine d’années  contribue grandement à cette opinion avec un retour à l’enfermement, amplifié depuis la loi de juillet 20111, la banalisation des mises à l’isolement, et surtout ce scandale des contentions que le Collectif des 39 a dénoncé2 et qui a été ensuite mis en évidence officiellement par le rapport essentiel de Mme Adeline Hazan, Contrôleure Générale des Lieux de Privation de Liberté, publié le 25 mai 20163.

samedi 30 septembre 2017

Le psychanalyste, le psychiatre et les médicaments psychotropes

LIBAN       28/09/2017





Un sujet en cure psychanalytique peut-il prendre un médicament psychotrope, c'est-à-dire un antidépresseur, un anxiolytique ou un neuroleptique ?
Cette question, en principe, n'a pas à se poser. Un sujet en analyse a le droit de prendre ou de ne pas prendre ce qu'il veut, c'est une question éthique. Cependant, lorsque le symptôme prend une dimension quantitative invalidante et que le sujet en analyse plie sous le poids de la dépression, de l'angoisse ou du délire et des hallucinations, la question thérapeutique est posée à l'analyste. Freud a pris des positions contradictoires quant à la dimension thérapeutique de l'analyse. Il soutenait qu'il ne « laisserait pas la thérapeutique tuer la science » (ici l'investigation analytique) ou que « la guérison vient de surcroît », mais il conseillait également aux analystes de « mélanger l'or pur de la psychanalyse au cuivre de la suggestion ». Par suggestion, il entendait les interventions que fait le psychanalyste auprès du patient et qui ne relèvent pas de l'interprétation. Ainsi, dans le cas présent, devant un sujet en analyse qui souffre de ses symptômes au point qu'il en est invalidé, un analyste a-t-il à conseiller à son patient de consulter un psychiatre pour se faire prescrire un psychotrope afin d'alléger ses souffrances ou ne doit-il pas ?

Ecole : la guerre idéologique est-elle relancée ?

Autour des « pédagos », depuis mai, la bataille s’est durcie. Le dernier épisode s’est joué autour de la démission du président du Conseil supérieur des programmes, ce mardi.

LE MONDE  | Par 

Le ministre de l’éducation nationale Jean-Michel Blanquer et le président Emmanuel Macron en visite à Forbach (Moselle), le 4 septembre.
Le ministre de l’éducation nationale Jean-Michel Blanquer et le président Emmanuel Macron en visite à Forbach (Moselle), le 4 septembre. PHILIPPE WOJAZER / REUTERS

Est-ce à coups de formules-chocs et de Tweet assassins, de gros titres et de petites piques que l’école, dont les gouvernants par-delà les alternances politiques disent faire leur « priorité », peut se résumer ? C’est pourtant le spectacle qui s’offre, depuis quelques mois, aux citoyens désireux de suivre le débat éducatif.

De débat, il n’y en a presque plus : sur les réseaux sociaux comme à la « une » des médias, l’invective a pris le pas sur l’échange ; la tribune, le pamphlet ont quasiment remplacé l’entretien croisé. Dans le sillage d’une campagne présidentielle qui a fait de l’école un champ d’affrontement politique, l’heure est au match idéologique, parfois sans face-à-face, souvent sans retenue.

Le dernier round s’est joué mardi 26 septembre, autour de la démission du président du Conseil supérieur des programmes, Michel Lussault. Sur Twitter, l’annonce a très diversement résonné, suscitant presque autant de « bons débarras » que de regrets. En l’espace d’une journée, on a vu fuser les invectives contre l’« ex-manitou de l’éducation nationale », mais aussi les marques de sympathie, les hommages à sa « liberté d’esprit ».

Faut-il poursuivre en justice les patients violents en psychiatrie ?

Paris le vendredi 29 septembre 2017- Il y a dix jours, l’Observatoire national des violences en milieu de santé (ONVS) publiait son rapport sur les données colligées en 2015 et 2016. Ces chiffres se basant sur des déclarations volontaires, ils ne sont qu’un reflet partiel de la réalité.
Sur la base de ces statistiques, il apparaît en premier lieu que ce sont les services de psychiatrie (20 % des actes) qui connaissent le nombre le plus élevé de signalements. Viennent ensuite les urgences (13 %) et les services de gériatrie (11 %).
Dans son rapport, l’ONVS s’est notamment intéressé à l’épineuse question des suites judiciaires à donner à un passage à l’acte violent par un patient suivi en psychiatrie.
L’institution constate d’abord que malgré la gravité de certains faits, il y a une gêne marquée des soignants à l’idée de déposer plainte. « Est-ce dû à la forte empathie naturelle du soignant vis-à-vis du patient » s’interroge l’ONVS qui évoque également la possible réticence à engager des poursuites compte tenu de la probable irresponsabilité pénale du malade.

Les perturbateurs endocriniens pourvoyeurs de troubles du comportement chez l'enfant ?

29.09.2017
Alors que les Européens continuent de s’écharper sur le concept de perturbateurs endocriniens, l’Inserm vient de publier une nouvelle étude à charge qui montre que l’exposition prénatale à certaines de ces substances est associée à l’apparition de troubles du comportement des garçons entre 3 et 5 ans. Les composés les plus préoccupants à cet égard seraient le bisphénol A, le triclosan et le di-n-butyl-phtalate, ou DBP.

Mal-être infirmier : témoignages d'étudiants à Poitiers

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Par Clémence Dubois-Texereau, France Bleu PoitouVendredi 29 septembre 2017
La moitié des étudiants infirmiers estiment que leur état de santé s'est dégradé au cours de leur formation. Humiliation, consommation d'anxiolytiques... c'est le malaise selon une étude menée auprès de 14.000 étudiants par la fédération nationale des étudiants en soins infirmiers (FNESI).
Un tiers des étudiants infirmiers affirment avoir été harcelés par un soignantau cours de leur formation. Bien souvent, cela se produit pendant les stages. A Poitiers, le deuxième stage d'Henri a rapidement viré au cauchemar : "Lors de la troisième semaine, j'étais dans le bureau infirmier, trois infirmières m'ont dit tu ne seras jamais infirmier." Résultat le jeune homme est dépité.
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Paris : avec Medicalib, une infirmière en un clic

Elodie Soulié|28 septembre 2017



La plate-forme créée par deux jeunes entrepreneurs parisiens séduit déjà 80 infirmiers libéraux sur les 2 500 de la capitale comme ici dans le XVe arrondissement.