Publié le 7 Sep, 2021
A partir de l’examen des dossiers génétiques et médicaux de plus de 8 000 patients atteints schizophrénie, des chercheurs du Mount Sinai Hospital de l’Etat de New-York ont remis en cause l’intérêt d’un outil « couramment » utilisé dans la recherche : le « score de risque polygénique ». Leurs conclusions montrent que cet outil auquel il est fait appel pour évaluer le risque génétique d’une personne vis-à-vis d’une maladie, ne permet pas de mieux prédire l’évolution de la maladie chez le patient que les rapports écrits des médecins. Leurs résultats ont été publiés dans la revue Nature Medicine[1].
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