Malgré la mobilisation massive du 10 juin, le gouvernement n’entend pas les revendications de la profession dans sa globalité.
Le ministère de la santé continue de ne recevoir que quelques organisations de son choix, refuse de considérer les liens entre les conditions d’exercice en libéral et la situation dans les différents services publics ou médico-sociaux. Il poursuit ses travaux sans en modifier l’orientation et souhaite étendre les expérimentations de remboursement des actes des psychologues en libéral sur des bases analogues : offre segmentée selon la pathologie et /ou la population, soumise à prescription et contrôle médicaux, tarifs indécents… Quand on évoque la situation des psychologues dans les secteurs hospitaliers et médico-sociaux, il oppose une fin de non-recevoir.
Nous exigeons l’ouverture de véritables négociations pour l’ensemble de notre profession.
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