Par Damien Grivois Publié le
La présidente de l'association, Annie Tuheiava, lance un message.
Annie Tuheiava préside l’association SOS Suicide depuis deux ans, à la suite du Dr Stéphane Amadeo. À l’occasion, vendredi dernier, de la Journée mondiale de la prévention du suicide, La Dépêchel’a interrogée sur le risque suicidaire en Polynésie française, qui est la deuxième cause de mortalité chez les jeunes. SOS Suicide, qui déplore de n’avoir plus accès aux données sur le sujet, lance un message aux personnes souffrant d’idées suicidaires et aux familles. De l’aide existe, y compris pour les familles endeuillées.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire