ANNE-SOPHIE POIRÉ 14 septembre 202
QUEBEC
Les délais importants ont fait en sorte que les patients sont allés voir ailleurs
PHOTO CHANTAL POIRIER
Geneviève Beaulieu-Pelletier, professeure à l’UQAM, rappelle qu’un coach de vie ne remplace pas un psychologue.
Les délais importants pour obtenir de l’aide psychologique pendant la pandémie ont contribué à faire bondir les demandes de consultation de coachs de vie qui ne sont pas formés pour traiter les troubles de santé mentale.
« J’ai eu beaucoup d’appels de personnes complètement désorientées parce qu’elles se sont spontanément dirigées vers des psychologues qui les refusaient par manque de places », assure Valérie Darmon, coach de vie et hypnologue à Montréal.
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