Le comité scientifique de la Fondation pour la recherche en alcoologie, sous l'égide de la Fondation de France, a sélectionné vingt-six projets de recherche qui seront soutenus dans le cadre d'une subvention totale de 200 000 euros, a annoncé la fondation dans un communiqué. Il a retenu dix-huit projets dans le champ des sciences biomédicales et huit en sciences humaines et sociales, s'inscrivant dans le cadre du programme scientifique de la fondation.
Quelques projets de recherche sélectionnés en 2016
- "Études des effets du baclofène et de la stimulation cérébrale profonde dans un nouveau modèle de prise compulsive d’alcool chez le rat", Inserm U836, Grenoble Institut des neurosciences (Isère) ;
- "Rôle de la transmission dopaminergique dans les atteintes de prise de décisions dans le modèle animal pertinent de l’addiction à l’alcool", Inserm ERI 24, université de Picardie, Amiens (Somme) ;
- "Exposition chronique à l’alcool et stress post traumatique chez la souris", Inserm U894, Centre de psychiatrie et neurosciences, Paris 14e ;
- "STAL-Stress et Trauma dans le sevrage à l’alcool", service de psychiatrie, Hôpital Louis Mourier, Colombes (Hauts-de-Seine) ;
- "La stimulation transcrânienne par courant continu (tDCS) : un outil novateur pour faciliter le sevrage alcoolique ? Utilisation de souris rendues dépendantes par inhalation de vapeurs d’alcool", Laboratoire de neurosciences intégratives et cliniques, université de Franche-Comté, Besançon (Doubs) ;
- "Étude d’identification des facteurs associés à la réponse au baclofène à haute dose dans la dépendance à l’alcool", département de psychiatrie et de médecine addictologique, Hôpital Fernand-Widal, Paris 10e ;
- "Parcours de grossesse et alcool : approches croisées des représentations des professionnels et des profanes de l’ensemble des troubles causés par l’alcoolisation fœtale et de leur prévention en région Bretagne", université de Bretagne-Sud, Lorient (Morbihan) ;
- "Ecological momentary assessment : mesures en temps réel des pensées répétitives négatives chez les patients dépendants à l’alcool", UFR de psychologie, université de Lille (Nord).
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