plus le webcampus
Si les idéologies politiques, qui pour beaucoup tenaient lieu de foi et d’espoir, se sont révélées inaptes pour certaines, en revanche, les religions nous ont rappelé qu’on pouvait espérer d’elles, non seulement dans l’Au-delà mais aussi dans le présent, un soutien précieux et surtout un soutien sur le plan identitaire. Comment s’articule le besoin de croire avec la question de l’identité, de l’aliénation et du rapport au groupe ? Et bien sûr Freud…
Sophie de Mijolla-Mellor, philosophe de formation, est psychanalyste et professeure émérite de psychopathologie et psychanalyse de l'université Paris-Diderot. Elle est présidente de l'Association internationale Interactions de la psychanalyse (A2IP) et directrice de la revue "Topique".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire