Malgré des avis contrastés à leur sujet, les électrochocs continuent en ce début du XXIème siècle à être utilisés en psychiatrie, sous la dénomination (plus « politiquement correcte ») d’électroconvulsivothérapie (ECT).
Réalisée dans la province du Québec (Canada), une étude propose d’évaluer et de « standardiser les pratiques d’ECT », en se basant sur « l’ensemble des personnes admissibles à la Régie de l’assurance-maladie du Québec, âgées de 18 ans et plus » et ayant eu recours à une ECT entre avril 1996 et mars 2013, soit 8 149 sujets (avec une prévalence annuelle d’environ 13 pour 100 000 habitants).