Par Rony Fotsing Publié le mercredi, 21 octobre 2020
CANADA
La santé mentale est un état de santé invisible qui est plus répandu dans toutes les tranches d’âge que les gens ont tendance à l’imaginer. Elle résulte d’une multiplicité de facteurs, notamment physiologiques, les marqueurs ADN, socio-économiques, les traits personnels uniques, le stress de haut niveau et les événements stressants tels que les examens ou les grandes transitions comme le passage du secondaire au postsecondaire.
Selon l’Association Médicale Canadienne, deux personnes sur trois souffrent en silence, craignant d’être jugées et rejetées en raison de la stigmatisation liée à la santé mentale. Les statistiques de plusieurs organisations telles que le Canadian National College Health Assessment, les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), le Centre de toxicomanie et de santé mentale sur la santé mentale dans les écoles postsecondaires, où les campus forment la majeure partie des établissements, sont effrayantes.
Le tableau ci-dessus résume les résultats d’une recherche menée en 2016 sur ce que les personnes interrogées ont ressenti au cours des douze mois précédents, ce qui, si cela devait se reproduire aujourd’hui à l’époque de la COVID-19, serait astronomique.
Il montre que la santé mentale est l’une des conditions les plus mal comprises par les gens, car elle n’est pas apparente à l’observation et, lorsque les conditions s’aggravent et commencent à présenter des symptômes observables, il peut être trop tard pour offrir une forme d’aide. Il convient de noter qu’avec des interventions hâtives, une majorité de patients se rétablissent et mènent une vie productive.
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