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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

vendredi 13 septembre 2019

Téléconsulation médicale : un démarrage timide, des espoirs entiers

Par Nathalie Raulin — 

Même remboursée depuis un an par la Sécurité sociale, la téléconsultation de son médecin est encore loin d'être une pratique courante. Après un démarrage timide, le recours à cette technologie en ligne progresse.

jeudi 12 septembre 2019

Médicaments ou thérapie, comment soigner ses phobies ?

 le 11 septembre 2019

Invité de l'émission "Sans Rendez-Vous", le professeur Antoine Pelissolo, chef du service de psychiatrie à l'hôpital Henri Mondor de Créteil, a expliqué sur Europe 1 comment prendre en charge les phobies.
EUROPE 1 VOUS ACCOMPAGNE
Elles se déclenchent à la vue d'un objet, d'un animal, ou à l'idée de sortir de chez soi ou de se retrouver enfermé quelque part. Si les phobies peuvent prêter à rire, il s'agit pourtant de vraies pathologies, qui peuvent être terriblement handicapantes. Et touchent 10% de la population, surtout les femmes. La bonne nouvelle, c'est qu'il est possible d'en guérir.
Invité de l'émission "Sans Rendez-Vous", le professeur Antoine Pelissolo, chef du service de psychiatrie à l'hôpital Henri Mondor de Créteil, le confirme. Dans le meilleur des cas, les peurs phobiques disparaissent d'elles-mêmes, et ce même si elles semblent très sévères. Chez les petits enfants par exemple, beaucoup passent sans qu'il soit besoin d'intervenir. En revanche, il n'est pas inutile de "faire une évaluation des choses" entre 5 et 10 ans si la phobie est toujours là. 

"Désobéir à sa peur"

Pour les autres, "le seul traitement possible, c'est de désobéir à sa peur", explique le Pr Antoine Pelissolo. Dans le cas d'une phobie simple, qui correspond à la peur d'un animal ou d'une chose, "il faut se rapprocher de l'objet de sa peur par étape, pour supporter ce que cela nous fait. L'organisme va s'ajuster à quelque chose qui n'est pas dangereux."

Réseaux sociaux : au-delà de 3 heures par jour, le risque de trouble du comportement augmente chez les ados

PAR DAMIEN COULOMB 
PUBLIÉ LE 11/09/2019

Crédit photo : PHANIE
À partir de 3 heures de temps passé sur les réseaux sociaux, les adolescents s'exposeraient à un surrisque de troubles du comportement dits « intériorisés », caractérisés par des symptômes anxio-dépressifs, un sentiment d'épuisement chronique et des difficultés adaptatives, selon les résultats d'une étude de cohorte longitudinale publiée dans le « JAMA Pyschiatry ».

Les décès évitables dans l’Union européenne


Logo Brief.me 11 septembre 2019

Les décès évitables dans l’Union européenne

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Journée sans infirmiers ce mercredi dans le royaume

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Khadija KHETTOU 11 Sep 2019 

MAROC

Journée sans infirmiers ce mercredi dans le royaume
Les infirmiers du public ont observé, ce mercredi 11 septembre, une grève nationale de 24h accompagnée de sit-in régionaux et locaux dans 7 régions du Maroc (Tanger, Fès- Meknès, Casablanca-Settat, Rabat-Salé, Laâyoune, Beni Mellale, Souss-massa).

TDAH : une nouvelle étude randomisée écarte à nouveau l’utilité des médicaments

Univadis

Par Caroline Guignot    6 sept. 2019

À retenir


Il est possible de réduire de moitié l’exposition au méthylphénidate durant l’année scolaire pour les enfants souffrant de trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Éviter le recours aux médicaments ou, à défaut, en réduire largement les posologies, est possible dès lors que des consultations comportementales sont proposées en premier lieu, afin d’adapter l’accompagnement durant ou hors temps scolaire. Ce résultat obtenu à comportement égal en fin de suivi et pour un coût de prise en charge similaire écarte un peu plus le recours anticipé aux médicaments.


Audience du Conseil d’Etat sur le décret du 23 mai 2018 relatif au fichier Hopsyweb

  • 10 SEPT. 2019
  •  
  • PAR 
  •  
  • ÉDITION : CONTES DE LA FOLIE ORDINAIRE
  • Le Conseil d'Etat censurera-t-il le décret du 23 mai 2018 qui instaure un casier psychiatrique informatisé et croise ce casier avec le fichier des personnes fichées S ?

Auch. Echange de lettres autour du conflit de l'hôpital psychiatrique

Publié le 

Avoir un enfant malgré la maladie psychique

  • Emmanuelle Lucas
      • Reportage 

        À Paris, la consultation d’information, de conseils et d’orientation « grossesse et psychiatrie » du GHU Paris accueille de futures mères qui souffrent de troubles psychiques. L’initiative permet aux femmes, ainsi qu’à leur entourage, d’être rassurées et mieux accompagnées jusqu’après la naissance de l’enfant.

Verdict attendu dans une affaire d’euthanasie inédite aux Pays-Bas

Une médecin est accusée d’avoir donné la mort, en 2016, à une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer, sans s’être suffisamment assurée de son consentement.
Le Monde avec AFP Publié 11 septembre 2019
Les juges chargés du procès de la médecin accusée d’avoir donné la mort à une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer, sans s’être suffisamment assurée de son consentement. A La Haye, aux Pays-Bas, le 26 août.
Les juges chargés du procès de la médecin accusée d’avoir donné la mort à une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer, sans s’être suffisamment assurée de son consentement. A La Haye, aux Pays-Bas, le 26 août. ALEKS FURTULA / AP
Il s’agit d’une affaire inédite dans le premier pays à avoir légalisé l’euthanasie. Un tribunal néerlandais doit rendre, mercredi 11 septembre, son verdict dans le procès d’une médecin accusée d’avoir donné la mort, en 2016, à une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer, sans s’être suffisamment assurée de son consentement. Agée de 74 ans, la malade avait initialement exprimé son désir d’être aidée à mettre fin à ses jours. Mais elle aurait par la suite montré des signes mitigés quant à son envie de mourir.
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Vieillir : âge d'or ou ruée vers l'or ?

11.09.19

Le vieillissement de la population est un enjeu de santé publique de taille, c'est un fait. Face à cela, on voit apparaître de nouveaux services et innovations destinées aux personnes âgées qui, déjà aujourd'hui, représentent une part importante de la population générale. Cependant on peut se demander si toutes ces avancées sont louables et favorisent le "bien veillir" ou si elles sont juste le moyen de tirer profit de la situation ? Alexis Bataille, jeune infirmier en devenir, a entamé cette réflexion et nous la fait partager, nous l'en remercions.
 La silver economie est un modèle économique qui puise ses ressources d'un matériau noble : la personne âgée
Selon l'OMS, à l'horizon 2050, le pourcentage de personnes âgées atteindra environ 22 % de la population mondiale. A terme, cela représentera environ 395 millions d'individus ayant des besoins spécifiques en terme de soins, d'accessibilité, de désirs et de loisirs. En France, à l'aube de 2035, un français sur trois sera âgé de plus 60 ans et le nombre de seniors connaîtra une hausse de 80 % (Chiffre DARES).
Poursuivant une logique, face à cet enjeu de santé publique, une dynamique de marché se met en place. L'économie des seniors, appelée aussi "silver économie" depuis le début des années 2000, se développe ainsi de façon grandissante. Innovation à destination du troisième et du quatrième âge, investissement engendrant des emplois, apparition de nouveaux services... De nombreuses avancées positives émergent pour valoriser cette période de la vie jusqu'alors délaissée par la société. Cependant, des investisseurs chevronnés, tels que les promoteurs immobiliers, les assureurs, les organismes de prestations à domicile, ont flairé un tout autre enjeu économique : les cheveux argentés, c'est un business en or ! A l'époque actuelle où le monde du soin s'industrialise, la silver économie est-elle un cercle vertueux du bien vieillir ou est-ce un autre modèle économique profitant seulement de la gérontocroissance pour avoir le beurre et l'argent du beurre ? C'est, sans nul doute, une réflexion qui vaut son pesant d'or !
La silver économie est-elle un cercle vertueux du bien vieillir ou est-ce un autre modèle économique profitant seulement de la gérontocroissance pour avoir le beurre et l'argent du beurre ?

Ils peignent avec leurs pieds: leurs cerveaux ont une carte de leurs orteils

Par  le 10.09.2019


L'artiste Tom Yendell, près de sa statue "Paralympic Bus" à Londres le 17 octobre 2014
AFP - LEON NEAL

Les artistes nés sans bras qui peignent avec leurs pieds ont des zones de leur cerveau consacrées à chacun de leurs orteils, ce qu'on ne retrouve pas chez les personnes ayant des bras, ont rapporté mardi des chercheurs au Royaume-Uni.
Les auteurs de l'étude, de l'Institut des neurosciences cognitives à l'University College de Londres, ont travaillé avec les artistes Tom Yendell et Peter Longstaff, deux des trois grands artistes utilisant leurs pieds dans le pays.

Le chemin de croix pour scolariser son enfant handicapé

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Par Charlotte Boniteau  Publié le 10/09/2019

© André Abalo
© André Abalo

Déjà le 10 septembre et Mélissa presque 13 ans n'a pas encore fait sa rentrée scolaire. Handicapée mentale, cette jeune fille aurait besoin d'intégrer un établissement spécialisé. Mais par manque de place elle est pour l'instant déscolarisée. 


Mélissa, presque 13 ans, n'a pas fait de rentrée scolaire cette annéeHandicapée, elle ne peut pas parler, déglutir et ne sait pas lire. 

Une malformation cérébrale touche la zone de la langue : elle souffre donc un retard mental

Pour s'épanouir, se construire et continuer d'apprendre, Mélissa aurait besoin de fréquenter un établissement spécialisé

Pas de place disponible 


L'institut médico-éducatif (IME) Pierre Delmas de Mérignac est le centre spécialisé qui correspond au handicap de la jeune fille. 

Rébecca, sa sœur, est désespérée : "On a fait une demande, mais cette année aucun enfant ne sort de l'établissement donc pas de nouvelle place. "

Pourtant, en mars dernier, Mélissa avait fait deux journées d'intégration dans cet IME de Mérignac. "Tout s'était super bien passé", raconte la sœur de l'intéressée. 



La contre-révolution de droite aux États-Unis dans les années 80

LA PSYCHANALYSE, NI ANGE NI DÉMON



  12/09/2019


   S’il fallait redonner à la psychiatrie son statut scientifique, remis en cause et malmené par les années soixante, il fallait faire du DSM IV (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) un outil diagnostic et statistique épuré de toute théorie. Mais comme la contestation de la psychiatrie est l’œuvre d’une époque et de la culture qu’elle a produit, les années 60, il fallait aussi démystifier l’époque elle-même. Comme les années 60, c’est aussi la lutte pour la liberté sexuelle, la libération des femmes, la légalisation de l’avortement et de l’homosexualité, il fallait bien détruire tout cela. Le DSM ne suffirait pas. Il fallait induire un changement de mentalité : une contre-révolution allait se mettre en place dans les années 1980.Dans le New York Times Magazine (Courrier International, janvier/février 99), Andrew Sullivan nous montre que les croyances et les pratiques des années 60 sont la cible d’une « contre-révolution menée par la droite chrétienne américaine au nom du conservatisme et du puritanisme moral ». Andrew Sullivan fait une étude approfondie de cette contre-révolution qui traque l’infidélité, l’avortement et l’homosexualité qui menacent la cohésion familiale. L’affaire Monica Lewinsky fut une occasion rêvée de partir en guerre contre Bill Clinton, considéré comme un enfant des années 60.

L’INFIRMIER(ÈRE) EN PRATIQUE AVANCÉE EN PSYCHIATRIE ET SANTÉ MENTALE (IPA) POUR OPTIMISER LE PARCOURS DE SOINS DES PATIENTS


17 OCTOBRE 2019   

Infirmier(ère) en pratique avancée (IPA) en psychiatrie et santé mentale : de quoi parle-t-on ?
Jérôme Morisset, infirmier EPSM Georges-Mazurelle, étudiant au diplôme d’état d’infirmier en pratique avancée, Université de Nantes, membre du comité de pilotage du Gic Répasi.

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"CELA A AMÉLIORÉ MES RELATIONS AVEC LES AUTRES" : DES PATIENTS EN PSYCHIATRIE LOUE LA MÉDIATION ANIMALE


12 SEPTEMBRE 2019 



C’est une activité qui se développe de plus en plus dans les établissements de soins et autres maisons de retraite. La médiation animale était à l’honneur hier sur le site de Châtelard du Centre hospitalier de Montluçon.