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Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

dimanche 4 novembre 2012


Peut-on extraire des données de votre cerveau ?

Pourrait-on vous amener à divulguer votre code bancaire simplement en vous faisant penser à lui ? L'activité électrique de votre cerveau peut-elle trahir vos secrets ? C'est la démonstration qu'ont accomplie des chercheurs lors de la récente conférence sur la sécurité informatique Usenix. Pour cela, ils ont utilisé un simple casque EEG (type Emotiv, disponible dans le commerce pour 500 $), qui mesure l'activité électrique du cerveau, une technologie qui n'avait jamais été étudiée sous l'angle de ses implications en matière de sécurité, rapportent Extreme Tech etCnet.
un cobaye en situation de reconnaître des cartes de crédits
L'étude (.pdf) des chercheurs (présentation en vidéo) menés par Ivan Martinovic du département des sciences informatiques de l'université d'Oxford, a consisté à créer un programme personnalisé conçu dans le but de vous faire penser à des données sensibles telles que l'emplacement de votre maison, le code secret de votre carte de crédit ou votre mois de naissance. Les chercheurs ont testé leur programme sur 28 participants coopératifs (même s'ils ne connaissaient pas le but de l'expérience) et les résultats ont montré que la fuite d'information provenant de l'utilisateur (la mesure de "l'entropie de l'information") apportait une réponse supérieure de 15 % à 40 % à une méthode aléatoire.

TFE : Peur et urgence somatique en psychiatrie

Messagepar Elood le 02 Nov 2012
Bonjour,

Alors voilà venu ce grand moment que de plancher sur le mémoire.. Et j'ai ainsi besoin de vous car je n'arrive pas a poser ma question de départ bien que j'ai bien détaillé ma situation et posé toutes les questions possible. Je veux ainsi me diriger sur la peur et l'urgence somatique en psychiatrie, des conséquences que ça peut avoir. Donc je vous laisse lire ce premier jet. Merci d'avance pour vos conseils

Pourquoi la censure et le filtrage ne marchent pas ? L’exemple des réseaux liés aux troubles de l’alimentation

[...] En s’intéressant aux blogs et forums qui évoquent les troubles de l’alimentation, pourchassés sous prétexte qu’ils en font la promotion, les sociologues Antonio Casilli, Fred Pailler et Paola Tubaro nous proposent de porter un autre regard sur le filtrage et la censure. Ils montrent d’abord que celle-ci n’a pas grand effet sur l’existence même des contenus. En étudiant la composition de ces sites, ils montrent comment leur structuration leur permet de continuer d’exister et de se renouveler. Pire, cette censure (potentielle comme véritable) affecte la forme du réseau, destructure les blogs pivots permettant de faire circuler l’information et favorise le développement de l’entre-soi. Le filtrage et la censure ont donc l’effet contraire à celui désiré : ils favorisent les échanges entre ceux qui souffrent de troubles de l’alimentation, ce qui peut-être plutôt positif, tout en les coupant de sources informationnelles extérieures et donc différentes. Au final, ce sont les professionnels de la santé eux-mêmes, ceux qui font de l’information et de la prévention auprès de ces publics, qui ont plus de difficulté à les toucher, à leur faire entendre d’autres messages que ceux qu’ils échangent entre eux. Une belle démonstration qui illustre combien, sur le net, la censure et le filtrage ne sont jamais la solution. – Hubert Guillaud [...]






Dramatique Fictions / Le Feuilleton
du lundi au vendredi de 20h30 à 20h55
Ecoutez l'émission23 minutes

Marilyn, dernières séances de Michel Schneider 1/10

29.10.2012 - 20:30 Ajouter à ma liste de lectureRecevoir l'émission sur mon mobile
Adaptation : Michel Schneider
Réalisation : Juliette Heymann

Trente mois durant, de janvier 1960 au 4 août 1962, ils formèrent le couple le plus improbable : la déesse du sexe et le psychanalyste freudien. Elle lui avait donné comme mission de l'aider à se lever, de l'aider à jouer au cinéma, de l'aider à aimer, de l'aider à ne pas mourir. Il s'était donné comme mission de l'entourer d'amour, de famille, de sens, comme un enfant en détresse. Il voulut être comme sa peau, mais pour avoir été la dernière personne à l'avoir vue vivante et la première à l'avoir trouvée morte, on l'accusa d'avoir eu sa peau. Telle est l'histoire. Deux personnes qui ne devaient pas se rencontrer et qui ne purent se quitter. Des mots noirs et des souvenirs blancs. Dans la lumière adoucie d'un cabinet de psychanalyste se redit la dernière séance de Marilyn.

Biographie de l'auteur
Né en 1944, Michel Schneider, écrivain et critique littéraire, a été directeur de la musique et de la danse au ministère de la Culture de 1988 à 1991. Il est l'auteur de La Comédie de la culture et de plusieurs ouvrages sur la musique, notamment Glenn Gould piano solo, Prima donna, Musiques de nuit. Il a reçu le prix Médicis de l'essai en 2003 pourMorts imaginaires et le prix Interallié 2006 pour Marilyn dernières séances.

A écouter ici

Les SDF ou le tragique de répétition

LE MONDE | 
Cet homme est, décidément, un formidable révélateur : à lui tout seul, Louis Gallois pointe du doigt quelques-unes des impuissances et des pusillanimités françaises les plus criantes – et les plus déprimantes.
Ainsi, plus personne ne peut ignorer que l'ancien patron de la SNCF et d'EADS remettra au gouvernement, le 5 novembre, son rapport sur l'érosion de la compétitivité des entreprises nationales. Le remède de cheval qu'il s'apprête à recommander pour soigner ce mal français défraye en effet la chronique depuis une dizaine de jours, plusieurs ministres et jusqu'au chef de l'Etat s'étant chargés de désamorcer, par avance, le choc de ses propositions.
Mais M. Gallois a une autre corde à son arc : président de la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociales, il sera l'un des acteurs-clefs de la conférence nationale de lutte contre l'exclusion organisée par le gouvernement les 10 et 11 décembre.
A ce titre, il vient de lancer un autre pavé dans la mare. A la veille de l'hiver et alors qu'un sans-abri est mort, de froid autant que de misère, dans une rue de Paris ce week-end, il dresse un diagnostic sévère, dans un entretien à La Croix : "Les besoins vont bien au-delà" des 15 000 places d'hébergement d'urgence et de logement adapté que le gouvernement prévoit de créer en cinq ans. "Il y a en outre un problème budgétaire" : les crédits annoncés pour 2013 étant équivalents aux crédits consommés en 2011, ces nouvelles places d'hébergement "ne sont donc pas financées".

Soins palliatifs : "Au moment de l'agonie, notre équipe s'efface"

LE MONDE | 

Les soignants du réseau SPES chez Thérèse (à droite) à Vert-le-Grand (Essonne).
Les soignants du réseau SPES chez Thérèse (à droite) à Vert-le-Grand (Essonne). | Agnes Dherbeys pour "Le Monde"

"Je suis désolé pour le retard ! - Ben, vous êtes docteur..." Sourire de Francis Dayre, le médecin généraliste de Lucienne, qu'il accompagne à petits pas de la porte d'entrée à son canapé de velours vert, au milieu d'un salon tapissé dans la même teinte. L'octogénaire s'y love, enveloppée de châles à pompons. Il y a bien du monde, ce matin, dans sa petite maison de lotissement. Elle semble savourer le moment.
En plus de son docteur, de l'infirmière libérale et de son fils, qui vit à demeure, un médecin, une infirmière et une psychologue du réseau de soins palliatifs à domicile du Sud-Essonne (le réseau SPES) sont venus s'enquérir de sa santé. La vieille dame, elle, a bien envie de profiter de l'auditoire pour revivre à haute voix les sorties de jadis, ce petit déjeuner au Ritz dont elle avait "ramené des sucres pour faire collection".
Lucienne a éloigné un cancer du sein il y a quatorze ans. Il est revenu. La chimiothérapie n'est plus de mise. Son torse est dévoré de plaies ouvertes qui la brûlent, stigmates de l'ancienne radiothérapie. Après la dernière visite, le réseau SPES a organisé à Paris une consultation chez une infirmière spécialisée de l'Institut Curie.
Lucienne consent à revenir au présent pour rassurer, elle va déjà mieux. Quoique... "Ce n'est rien", murmure-t-elle. "Ce n'est pas rien, saisit au vol Carine Quinto, le médecin du réseau. C'est là. Est-ce que c'est supportable ?" "Oui." "Vous dormez la nuit ?", enchaîne le généraliste. "Pas bien", admet-elle.

Parce que mon corps m'appartient

Le Monde.fr | 
Le droit de mourir dans la dignité, l'aide active à mourir, l'euthanasie, le suicide assisté, selon nos affinités sémantiques, ne saurait être une question médicale. Certes, ce droit implique les médecins, qui sont les artisans – au sens noble – de notre choix de fin de vie. Certes, c'est sur la base de leur diagnostic, avec leurs connaissances et leur expertise, que la fin de vie se dessine.
Nous rappelons au passage que la mort est un événement considérable, c'est notre lot commun, notre terme à tous. Gageons que tous les lecteurs de cette tribune seront morts dans une centaine d'années. Alors, autant s'y préparer sereinement.
Ce droit de mourir dans la dignité, dans sa propre dignité, porté depuis 32 ans par l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité et qui a fait l'objet de la proposition de campagne n°21 de François Hollande, remporte l'adhésion des Français qui se déclarent très majoritairement favorables à l'euthanasie (entre 86 % et 94 % selon les sondages, de manière constante depuis plus de 20 ans).

Le débat public sur la fin de vie aborde avec prudence la question de l'euthanasie

Le Monde.fr | 

Le premier débat sur la fin de vie, entre posture et émotion

LE MONDE | 

Le deuil, un chemin singulier

LE MONDE | 


Schizophrénie, dépression, stress... Il faut moins de psychotropes et plus de recherches

Modifié le 31-10-2012














Par 
Professeur de psychiatrie























La France est le deuxième pays d'Europe où l'on consomme le plus de psychotropes, derrière le Portugal. Comment y remédier ? Pour Antoine Pelissolo, psychiatre et président de l’Association française des troubles anxieux et de la dépression, c'est en amont qu'il faut agir.


Depuis plus de 20 ans, comme "Le Nouvel Observateur" cette semaine, les médias alertent très régulièrement le grand public sur les excès de la consommation de médicaments psychotropes en France.

On peut débattre à l’infini sur l’exactitude des chiffres et leur interprétation, mais ils révèlent en tout cas deux faits incontestables : l’importance des enjeux de santé publique liés aux troubles psychiques, et l’insuffisance des moyens préventifs et thérapeutiques disponibles. Car dénoncer les dérives des traitements utilisés ne suffit pas à résoudre les problèmes si les alternatives ne sont pas satisfaisantes, ce qui est le cas aujourd’hui.
TRAITEMENT PSYCHIATRIQUE

LA STIMULATION TRANSCRANIENNE ENFIN AU MAROC
UNE MÉTHODE DE TRAITEMENT NON-MÉDICAMENTEUSE
70% DE TAUX DE RÉUSSITE POUR CERTAINES PATHOLOGIES

Consultations privées à l’hôpital : paiement direct au médecin interdit.

Le gouvernement a placé les consultations privées à l’hôpital sous strict contrôle. A ce jour, 4 500 médecins soit 12,5% de l’effectif sont concernés. Mesure principale, les patients verseront les honoraires directement à la caisse de l’hôpital. Le paiement direct est donc interdit. Seconde disposition, le reversement  au médecin sera conditionné à la présentation de son planning à la direction de l’hôpital. L’objectif est de vérifier que l’exercice libéral au sein de l’hôpital ne dépasse pas 20% de son activité. En cas d’excès, une pénalité voire un retrait de l’autorisation d’exercer en libéral sont envisagés. Sans surprise la mesure a levé une levée de boucliers chez les syndicats des médecins qui n’ont pas été consultés.  La surprise a été totale d’autant qu’une mission sur ce thème a été confiée à Dominique Laurent, conseillère d’Etat. Résultat, les cinq inter- syndicats de praticiens hospitaliers dénoncent la méthode qui jette la suspicion sur l’ensemble des médecins.
Information du 31.10.12 13:33

72 ans est le nouveau 30 ans

L'espérance de vie des hommes a connu un bond unique au cours des 4 dernières générations, au point que sur ce plan, nos ancêtres de la préhistoire se rapprochent davantage des chimpanzés que de nous.
Jusqu'où pouvons-nous repousser les limites de la mortalité humaine? C'est pour répondre à cette question qu'Oskar Burger, de l'Institut de recherches démographiques Max Planck en Allemagne, s'est penché sur l'évolution de la longévité humaine, de la préhistoire à nos jours. Ses travaux montrent que l'espèce humaine a connu un allongement de l'espérance de vie unique parmi les espèces animales, enregistré principalement sur les 4 dernières générations, pour un total de 8000 étudiées. Cette progression récente et rapide suggère qu'elle est principalement due à notre capacité à améliorer nos conditions de vie, plutôt qu'à une prédisposition génétique ou une conséquence de l'évolution.
Le chercheur, qui publie ses travaux dans les comptes-rendus de l'Académie américaine des sciences, a comparé la durée de vie des chasseurs-cueilleurs, les hommes du paléolithique qui vivaient entre - 3 millions d'années et - 10.000 ans, au chimpanzé (notre plus proche cousin) et à l'homme contemporain des pays développés. Il en ressort qu'en termes de longévité, le chasseur-cueilleur était plus proche du chimpanzé que d'un Japonais ou un Suédois d'aujourd'hui -ces deux pays figurant parmi ceux où l'on vit le plus vieux. Et un Suédois vivant en 1900 était plus proche d'un chasseur-cueilleur que de ses propres arrière-petits enfants. Dans les pays développés, l'amélioration a été linéaire depuis 1840, avec un gain moyen pouvant atteindre 3 mois par an. Résultat, un chasseur-cueilleur de 30 ans avait autant de risques de mourir qu'un Japonais de 72 ans aujourd'hui ; un chasseur-cueilleur de 15 ans, les mêmes qu'un Suédois de 69 ans.
Prévention et de promotion de la santé : le Guide 2013 pour les Promoteurs d’Actions

L’Agence Régionale de Santé d’Ile de France publie un guide pour les promoteurs d’actions, destiné aux porteurs de projets en prévention et promotion de la santé : associations et collectivités territoriales de la région.

Pour 2013, l’ARS Ile-de-France souhaite poursuivre son engagement pour la réduction des inégalités sociales et territoriales de santé qui touchent les Franciliens dès le plus jeune âge.
Les orientations de la programmation 2013 portent sur quatre priorités thématiques majeures, à savoir :
  • La périnatalité
  • La santé des jeunes
  • La santé mentale
  • L’habitat indigne

Néandertal, le raffinement de l’homme moderne

1 novembre 2012
Femme de Néandertal prenant un bain, lors d'une exposition en Croatie en 2010.
Femme de Néandertal prenant un bain, lors d'une exposition en Croatie en 2010. (Photo Nikola Solic. Reuters)

Récit Les datations d’os de néandertaliens d’Arcy-sur-Cure renforcent la théorie selon laquelle ils ont subi l’influence culturelle de Cro-Magnon.

Par SYLVESTRE HUET
Néandertal, sur la fin, se fit homme raffiné. Une sorte de chant du cygne. Et c’est en se frottant à ses cousins Cro-Magnon qu’il acquit ce surcroît de culture le conduisant à fabriquer des artefacts d’os, des sagaies légères et des ornements corporels jusqu’alors inconnus dans ses grottes et campements. Cependant, nulle volonté de transfert de technologies sur mode de coopération Nord-Sud là-dedans, assène le préhistorien Jean-Jacques Hublin, «c’est bien l’homme moderne qui est responsable de l’extinction de Néandertal».

Israël invente le cannabis qui soigne sans faire planer

3 novembre 2012
Une horticultrice israélienne cultive du cannabis médicinal, le 1er novembre 2012 dans la serre de Tikkun Olam près de Safed
Une horticultrice israélienne cultive du cannabis médicinal, le 1er novembre 2012 dans la serre de Tikkun Olam près de Safed (Photo Menahem Kahana. AFP)

Des horticulteurs du pays affirment avoir mis au point une variété de cannabis qui soulage les symptômes de certaines maladies chroniques, sans produire d'effets psychotropes.

mercredi 31 octobre 2012

L’AP-HP inaugure une équipe mobile d’urgence médico-sociale

Pour éviter les hospitalisations inutiles de personnes précaires, l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris a inauguré ce lundi, en présence de Michèle Delaunay, ministre chargée des Personnes âgées et de l’Autonomie, une équipe mobile d’urgence (EMU). Composée d’un assistant social et d’un des 200 médecins retraités de l’association « Les transmetteurs », présidé par Xavier Emmanuelli, assistés éventuellement d’autres experts en fonction des besoins, cette équipe se déplace au domicile des patients parisiens, en journée, pour des interventions longues. L’un des objectifs visés est la réduction du nombre d’appels au SAMU qui ne relèvent pas d’une urgence médicale grave. « Cette équipe mettra en lien les personnes avec les associations les plus à même de les aider. Bien souvent la détresse sociale se cache derrière un masque médical », explique le Dr Suzanne Tartière en charge du projet.
L’AP-HP souhaite s’inscrire dans une démarche environnementale. EDF a donc mis à sa disposition un véhicule électrique pendant un an renouvelable.
Le dispositif sera évalué du côté des patients mais aussi de l’unité du SAMU de Paris.
› C. G.

Les nouveautés du PLFSS 2013


L’Assemblée nationale a voté cet après-midi en première lecture le PLFSS 2013. Parmi les nouveautés, on retiendra la création de 200 contrats de « praticiens territoriaux » pour lutter contre les déserts médicaux, le remboursement à 100 % de l’IVG et la gratuité de la pilule pour les mineures. Les députés ont également voté pour la fin de la convergence tarifaire et l’encadrement de l’activité libérale à l’hôpital.

Cergy : une exposition rencontre en la psychiatrie et l'art

Rédigé le 30/10/2012 
La Maison Hospitalière de Cergy accueillera du 26 novembre au 16 février prochain une exposition réalisée par le photographe Fabien Lapouge. Une démarche artistique qui entend aider les patients, souffrant de troubles psychiatriques, à ses construire au sein d'un espace privilégiant la démarche artistique.

Ouverte en 2011, la Maison Hospitalière de Cergy est un établissement de santé qui accueille pour six mois des patients souffrants de troubles sévères et durables. Lieu d'accompagnement, l'établissement entend également mener des actions artistiques. Un objectif qui se concrétise par la mise en place d'expositions plusieurs fois par an. La prochaine, « Oculis Transire », a été réalisée par le photographe Fabien Lapouge autour de 25 clichés « qui ont pour point commun avec la Maison Hospitalière d’aborder la question de l’intérieur / l’extérieur, le rapport entre le vide et le plein et enfin, toute une recherche au niveau des nus, du corps et de l’image de soi ».
Egalement ouverte au grand public, elle se tiendra du 26 Novembre au 16 Février 2013.