Publié le 26/11/2018
Le manque de lits et de personnel rend difficile le quotidien hospitalier. Illustration © PARA Stéphanie
Manque de personnel, fermeture de lits : la CGT du centre hospitalier George-Sand dénonce « une perte de sens du soin en psychiatrie ».
Un manque de lits et de personnel. « Notre établissement n’est pas épargné par la perte de sens du soin en psychiatrie », s’inquiète la CGT du centre hospitalier George-Sand (syndicat majoritaire), emmenée par sa secrétaire Emmanuelle Arnout-Marais. Les agents ne sont pas rassurés par le Plan santé de la ministre Agnès Buzyn, qui prévoit trente-sept mesures « portant une vision positive de la santé mentale » pour que « la psychiatrie ne soit plus le parent pauvre de la médecine ».
Plus de 200 lits fermés en 20 ans
Ils s’opposent à l’idée « de réduire la psychiatrie et ses hôpitaux à un simple service au milieu des hôpitaux généraux ».
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