blogspot counter

Articles, témoignages, infos sur la psychiatrie, la psychanalyse, la clinique, etc.

dimanche 28 juillet 2019

LA PSYCHIATRIE EST-ELLE UNE RÉPONSE À NOS TROUBLES DE FOLIES ? AVEC MOUSSA SÉNE – 2STV (Vidéo)

SeneNews.com

CAMEROUN

Résultat de recherche d'images pour "LA PSYCHIATRIE EST-ELLE UNE RÉPONSE À NOS TROUBLES DE FOLIES ? AVEC MOUSSA SÉNE – 2STV (Vidéo)"

Voir la vidéo ...

Ma fille sous influence

LES PIEDS SUR TERRE par Sonia Kronlund

DOCUMENTAIRES
5 épisodes


Ma fille sous influence (1/5) : L'enlèvement
28 MIN
LES PIEDS SUR TERRE
LE 30/05/2018
Une mère veut comprendre ce qu’est devenue sa fille, Emma, 15 ans et demi, endoctrinée par les réseaux de l’Etat islamique. Une série inédite sur une famille...
Ma fille sous influence (2/5) : Un canapé devant la porte
28 MIN
LES PIEDS SUR TERRE
LE 06/06/2018
Nathalie et Daniel installent une surveillance de leur fille H-24. Ils campent littéralement devant la porte de leur maison et devant son lycée. Mais à...
Ma fille sous influence (3/5) : Petits arrangements avec le Coran
28 MIN
LES PIEDS SUR TERRE
LE 13/06/2018
“On ne met pas un jeune homme de dix-neuf ans dans le lit d’une fille de seize ans, d’autant plus qu’elle est magnifique. Même s’il y a une religion, ça...
Ma fille sous influence (4/5) : Londonistan
28 MIN
LES PIEDS SUR TERRE
LE 20/06/2018
Les doutes assaillent Nathalie. Sous ses airs de musulmane désormais “rangée”, Emma est peut-être devenue une pro de la dissimulation. Et si elle avait...
Ma fille sous influence (5/5) : La découverte
28 MIN
LES PIEDS SUR TERRE
LE 27/06/2018
En fouillant dans la chambre de sa fille, Nathalie fait une découverte qui la bouleverse. Mais qui est vraiment Amadou, le mystérieux amoureux qu’Emma...
Ma fille sous influence (1/5) : L'enlèvement
28 MIN
LES PIEDS SUR TERRE
LE 22/07/2019
Une mère veut comprendre ce qu’est devenue sa fille, Emma, 15 ans et demi, endoctrinée par les réseaux de l’Etat islamique. Une série sur une famille face...
Ma fille sous influence (2/5) : Un canapé devant la porte
28 MIN
LES PIEDS SUR TERRE
LE 23/07/2019
Nathalie et Daniel installent une surveillance de leur fille H-24. Ils campent littéralement devant la porte de leur maison et devant son lycée. Mais à...
Ma fille sous influence (3/5) : Petits arrangements avec le Coran
28 MIN
LES PIEDS SUR TERRE
LE 24/07/2019
“On ne met pas un jeune homme de dix-neuf ans dans le lit d’une fille de seize ans, d’autant plus qu’elle est magnifique. Même s’il y a une religion, ça...

vendredi 26 juillet 2019

Les soins palliatifs, c'est quoi au fait ?

Par Eric Favereau — 
Véronique, Anne et leurs jumeaux Angèle et Lucien, nés par PMA en Belgique. A Brest, en 2015.
Véronique, Anne et leurs jumeaux Angèle et Lucien, nés par PMA en Belgique. A Brest, en 2015. Photo Vincent Gouriou

Le projet de loi qui arrivera en septembre à l’Assemblée a été présenté mercredi en Conseil des ministres. Le menu est copieux : PMA pour les couples lesbiens et les femmes célibataires, accès aux origines des enfants nés par don de gamètes, dépistages génétiques…

Et c’est parti pour la grande réforme sociétale du quinquennat Macron. Le projet de loi bioéthique qui sera soumis aux députés en septembre a été présenté mercredi en Conseil des ministres. Au menu, un texte en 32 articles porté par trois ministères (Santé, Justice, Recherche) avec en plat de résistance, l’ouverture de la PMA (procréation médicalement assistée) à toutes les femmes. Et plus seulement à celles qui vivent en couple hétérosexuel. Bienvenue aux couples de lesbiennes et aux célibataires, qui seront elles aussi prises en charge par la sécurité sociale au nom des principes de solidarité et d’égalité. Coût estimé ? Entre 10 et 15 millions par an, soit seulement 4% du coût annuel de la PMA, qui monte à quelque 300 millions d’euros. Selon les estimations, cet élargissement de la PMA devrait concerner «autour de 2 000 femmes par an, alors qu’aujourd’hui, la procréation médicale assistée c’est 150 000 actes par an», selon la ministre de la Santé Agnès Buzyn. Voilà en tout cas une promesse de campagne du candidat Macron tenue et pleinement assumée.

LAXOU | CENTRE PSYCHOTHÉRAPIQUE Des infirmiers psy en danger de mort

LE 24/07/2019 

Une infirmière du centre psychothérapique de Laxou a failli être étranglée par un patient fin juin. Cet incident grave n’est pas une première. Conséquence : la CGT a décidé de porter plaine contre la direction de l’établissement pour « mise en danger de la vie d’autrui ».

Pour Cédric Roux de la CGT, « si cela continue comme cela, il y aura un mort chez les soignants ».  Photo ER /Christophe GOBIN
Photo HD
Pour Cédric Roux de la CGT, « si cela continue comme cela, il y aura un mort chez les soignants ». Photo ER /Christophe GOBIN
Sous-effectif, suractivité et personnel en détresse : la situation au Centre psychothérapique (CPN) de Laxou a franchi les limites du supportable, en particulier dans l’unité A, celle qui regroupe les malades les plus dangereux.
C’est, en tout cas, le diagnostic alarmant dressé par la CGT. Tellement alarmant que le syndicat a, pour le coup, renoncé aux moyens de revendication classique. Pas de tract, ni de manif ou de droit de retrait, la CGT a décidé, il y a quelques jours, de saisir le procureur de Nancy et de porter plainte pour « mise en danger de la vie d’autrui ». La plainte est contre X, mais derrière ce X, c’est clairement la direction du CPN qui est visée.

Deux infirmières étranglées

La goutte d’eau qui a fait déborder le vase de la colère syndicale remonte au 22 juin dernier. Ce jour-là, une infirmière de l’unité A a été agrippée puis étranglée par un malade en chambre d’isolement, sous les yeux d’une jeune collègue et d’une interne qui sont restées tétanisées. « Heureusement, l’infirmière étranglée était expérimentée et elle a pu repousser le patient », raconte Harmonie, une autre infirmière.

120 patients par jour : le généraliste stakhanoviste d'Orléans se justifie

PAR MARIE FOULT 
 
PUBLIÉ LE 24/07/2019

Crédit photo : Phanie
Épinglé par sa caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) puis placé en garde à vue le 4 juillet, le Dr Jean-Marc Blanchon, médecin généraliste à Orléans (Loiret), a témoigné ce lundi 22 juillet dans « La République du Centre ».
Il avait annoncé sa garde à vue (levée dans la soirée) sur la porte de son cabinet. Le motif était le suivant : « fausses déclarations à la caisse primaire d’assurance maladie ». Le conseil départemental de l’Ordre des médecins s'est ensuite constitué partie civile.
D'après le quotidien local, qui cite une « source judiciaire », une perquisition a par ailleurs été réalisée au cabinet du Dr Blanchon, dans la semaine du 10 juillet, par le parquet, la gendarmerie, et un représentant de l’Ordre des médecins. « La Sécu me réclame quand même 450 000 euros, a indiqué le généraliste à “La République du Centre”. Elle tolère jusqu’à 72 patients par jour, moi je suis en moyenne dans les 120. Ils disent qu’au-delà de 72, c’est de la fraude… »

“Futures of Love” : et si les datas contrôlaient nos relations amoureuses et sexuelles de demain ?

  • Marie-Charlotte Burat
  • Publié le 22/07/2019



    L’installation multimédia interactive avec son, RABBIT HEART (2018) – Natalia Alfutova, aux Magasins Généraux

 

 

    L’exposition présentée aux Magasins Généraux jusqu’en octobre, réfléchit à la question de notre libre arbitre en matière d’affinités amicales ou amoureuses à l’heure de Tinder et des algorithmes. L’amour au bout du doigt, pour le meilleur mais surtout pour le pire… 


    jeudi 25 juillet 2019

    «Le récit des origines est inhérent à la nature humaine»

    Par Charlotte Belaich — 
    Image extraite de la série «Point Identity», de Coco Fronsac.
    Image extraite de la série «Point Identity», de Coco Fronsac. 
    Coco Fronsac. Voz’ Image


    «Libération» a interrogé des psys sur l’importance d’avoir accès ou pas à l’identité des donneurs de gamètes, dans le cadre de la procréation médicalement assistée. Deux camps s’affrontent.

    «Qui d’autre interrogez-vous ?» La question, posée par presque tous nos interlocuteurs, vaut avertissement. Comme un panneau de signalisation qui dirait : «Attention, sujet inflammable.» Alors que le projet de loi sur la bioéthique, qui comprend l’extension de la PMA à toutes les femmes et la possibilité pour les enfants - s’ils le souhaitent et à leur majorité - de connaître l’identité de leur donneur, vient d’être présenté en Conseil des ministres, les deux camps qui s’affrontent comptent leurs troupes. Longtemps débattue par les psys, la question de l’homoparentalité a laissé place, cette fois, à celle des origines. Car l’extension aux femmes seules et couples de femmes change la donne : la présence d’un X dans l’histoire devient manifeste. Les psys sont donc sommés de répondre à la question : comment les enfants à venir vont-ils eux-mêmes répondre à celle de leur venue au monde ? Leur manquera-t-il une pièce essentielle lorsqu’ils se demanderont, comme chacun, d’où ils viennent ? Vaste sujet de la psychanalyse, sur lequel ne s’accordent pas les spécialistes.