C'est une revendication récurrente qui ne semble toujours pas entendue : les étudiants fournissent et lavent souvent leurs tenues de stage eux-même et ne le souhaitent plus. Au-delà de la question financière - les frais peuvent s'élever à plusieurs dizaines voire centaines d'euros - , se posent des questions d'hygiène et de santé publique.
"Comment est-il possible de justifier que les ESI achètent et entretiennent chez eux ou dans des lavomatiques leurs tenues professionnelles", interroge Vincent Opitz, vice-président en charge des relations presse et des affaires internationales à la Fnesi (Fédération nationale des étudiants en soins infirmiers), dans un tweet adressé directement au ministre de la santé.
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