26 AOÛT 2020
Il a plaidé sa cause lors d'un rendez-vous téléphonique avec l'Élysée, mardi. L'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité le soutient sans réserves.
Deux heures d'entretien téléphonique avec la conseillère santé de l'Élysée, et des interviews dans la foulée avec de nombreux médias français. Alain Cocq termine cette journée de mardi épuisé, mais avec le sentiment d'avoir été "écouté et entendu."
À 57 ans, ce dijonnais paralysé depuis maintenant 34 ans réclame le droit d'en finir. "Je demande à titre compassionnel l'autorisation pour le corps médical de me prescrire des barbituriques, seul le Président peut me le permettre. La loi n'autorise la sédation profonde qu'à quelques heures de la mort, mais moi je suis en phase finale depuis 34 ans."
"J'attends une réponse avant le 4 septembre" - Alain Cocq.
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