La porte close lors du dernier conseil de surveillance n’a fait qu’attiser le sentiment de mépris.
© (Photo archives NR)
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Nous ne lâcherons pas. Au 141e jour de grève et après 121 jours d’occupation du parvis du centre hospitalier de Niort, la détermination des grévistes n’a pas faibli. « Nous sommes en attente de négociations depuis presque trois semaines, depuis le 17 décembre précisément », ajoute Sandrine Fournier secrétaire de la CGT au sein de l’établissement.
Plus que jamais, le sentiment de mépris s’impose dans l’esprit des porte-parole du personnel. « De la part de la direction de l’hôpital mais aussi du président du conseil de surveillance et de l’Agence régionale de santé. » Et la porte close du conseil de surveillance le 21 décembre dernier, alors que les grévistes voulaient y déposer pacifiquement une motion faisant état autant de leur colère que de leurs interrogations, leur est restée en travers de la gorge. Plutôt indigeste.
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