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Au CHU de Brest, une équipe de recherche s’intéresse à l’impact des interventions précoces sur la réduction des conduites suicidaires dans les troubles psychotiques débutants.
Dans les troubles psychotiques débutants, les conduites suicidaires sont une cause majeure de morbi-mortalité, avec une prévalence des tentatives de suicide allant jusqu’à 35 % (1). L’un des facteurs de risque les plus prédictifs de ces conduites suicidaires est une durée de psychose non traitée (DPNT) allongée* (2). Au CHU de Brest, une équipe de recherche du réseau Transition a posé l’hypothèse qu’en réduisant cette DPNT par des programmes d’intervention précoce, on agissait sur ces conduites suicidaires.
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