LE 14 DÉCEMBRE 2021
Les phéromones maternelles jouent un rôle important dans la socialité du nourrisson, selon une nouvelle étude du CHU Sainte-Justine.
Une nouvelle étude à laquelle a participé le professeur Guillaume Dumas, du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine et de l’Université de Montréal, en collaboration avec le Centre interdisciplinaire d’Herzliya en Israël, démontre de quelle façon les phéromones maternelles augmentent la synchronisation entre le cerveau du nourrisson et celui de sa mère, suggérant leur rôle dans le développement de l’«instinct social» du bébé et ouvrant la porte à de nouvelles stratégies thérapeutiques pour les troubles du développement.
Les résultats de ces travaux sont présentés aujourd’hui dans le journal Science Advances.
Le pouvoir de l’odeur d’une mère
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