PAR DR IRÈNE DROGOU
- PUBLIÉ LE 27/08/2019
Crédit photo : Phanie
Les plus optimistes d'entre nous gagneraient 11-15 % d'espérance de vie par rapport aux plus pessimistes, ont estimé des chercheurs de Harvard d'après deux grandes cohortes américaines ayant totalisé 69 744 femmes pour la Nurses' Health Study (NHS) et 1 429 hommes pour la Veterans Affairs Normative Aging Study (NAS).
Cette nouvelle étude publiée dans les « PNAS » confirme le rôle des facteurs psychologiques dans la longévité, et notamment la longévité exceptionnelle définie par un âge ≥ 85 ans. Or, selon les auteurs, l'optimisme, s'il est à 25 % héréditaire, « est aussi déterminé par des facteurs sociaux structurels et peut s'apprendre », citant plus loin des ateliers d'écriture rapide, la méditation ou des thérapies comportementales.
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