“Ce glissement de l’intérêt politique vers la psychopathologie du passage à l’acte permet l’indispensable éclairage sur les raisons qui ont conduit le régicide à tenter de bouleverser l’équilibre politique du pays”, soutient l’auteur.
“Pourquoi, un jeune officier d’un corps prestigieux, assassine de sang-froid, le Président de son pays, alors qu’il n’a jamais eu de rapport direct ou indirect avec lui ?” En tentant une réponse, pas toujours évidente, à une interrogation aussi lancinante, le professeur Farid Kacha nous invite, à travers son ouvrage consacré à l’assassinat du président Mohamed Boudiaf, à un voyage pas comme les autres, à la découverte de l’insondable subconscient du tueur, Lembarek Boumaârafi. Dans cet ouvrage intitulé “L’assassinat d’un président.
Psychiatrie et justice”, qu’il vient de sortir chez les éditions Thala, le fondateur et président de la Société algérienne de psychiatrie (SAP) propose au lecteur un aspect souvent négligé ou complètement ignoré dans le traitement des affaires liées au crime.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire