Publié le 31/01/2024
Le problème est lié à la conception même des molécules, faites pour traiter l’apathie de la dépression comme forcément pathologique.
C'est un drame aussi commun qu'il ne sera jamais banal – la mort d'un enfant en général et, en particulier, la mort par suicide d'un enfant adolescent. Comme on l'apprenait le 19 janvier, Vincent Schmitt et Yoko Motohama, parents de Romain – 16 ans au moment de mettre fin à ses jours en septembre 2021 –, accusent son traitement antidépresseurd'avoir précipité son passage à l'acte.
Le couple a ainsi déposé une plainte pour homicide involontaire contre X et une juge d'instruction du tribunal de Vienne, dans l'Isère, enquête désormais sur le lien éventuel entre la mort volontaire du jeune homme et sa prise de médicaments.
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