Repéré sur The New York Times par Elena Gillet —
Une pratique qui a des effets très positifs sur l'anxiété et la dépression, mais pas seulement.
La musicothérapie obtient des résultats qui ne sont parfois pas atteints avec un traitement dit «standard». | 42 North via Unsplash
Guitare à la main, Isobell, 17 ans, laisse courir ses doigts sur les cordes, jouant les premières notes de «Candy Necklace» de Lana Del Rey. Accompagnée par Caitlin Bell au piano, l'adolescente se met à chanter.
À première vue, on pourrait croire qu'Isobell prend un cours de musique avec Caitlin ou qu'elles jouent ensemble dans une petite salle de concert. Pourtant, ce n'est ni l'un, ni l'autre: elles sont toutes les deux dans une salle du Louis Armstrong Center for Music and Medicine à Manhattan (New-York), en pleine session de thérapie par la musique, raconte le New York Times dans un article.
Depuis l'âge de 14 ans, Isobell a tout essayé pour soigner son anxiété. Suivie par une psychiatre, elle a tenté deux traitements différents. «Ils ne faisaient pas grand chose», confie-t-elle au New York Times. Alors qu'elle se sentait découragée, la spécialiste lui a proposé d'essayer une thérapie... par la musique.
Isobell, qui aimait déjà jouer de la guitare et écrire des chansons, y a trouvé son bonheur. Chanter lui permet de relâcher certaines émotions difficiles à décrire selon elle, écouter de la musique et interpréter les paroles «lui ouvre l'esprit». Désormais, c'est à ça que ressemblent ses séances avec sa thérapeute, Caitlin: une guitare en plus, les médicaments en moins.
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