Par Florence Sturm Publié le
L’attentat du 14 juillet 2016 à Nice a provoqué le décès de 86 personnes dont quinze enfants. La Fondation Lenval et le Centre d’Évaluation Pédiatrique du Psychotraumatisme ont accueilli depuis des milliers d'enfants et parents. Entretien avec une professeure de psychiatrie y travaillant.
La nuit du 14 juillet 2016, 86 personnes ont perdu la vie dans l'attentat de la promenade des Anglais, à Nice, et 434 victimes blessées physiquement ont été prises en charge par des équipes médicales. Mais des milliers d’autres souffrent aussi de blessures psychologiques. Six ans après l’attentat, et alors que s'ouvre à Paris le procès, les séquelles peuvent être toujours présentes chez l’enfant et l’adolescent qui a vécu l’événement.
Entretien avec Florence Askenazy, professeure de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent aux hôpitaux psychiatriques de Nice, CHU Lenval.
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