BÉNÉDICTE SALTHUN-LASSALLE Publié le 11/10/2018
© Unsplash/Jurica Koletic
Chaque personne atteinte de schizophrénie est unique, mais toutes présentent différents symptômes handicapant au quotidien. Or les traitements actuels, des antipsychotiques, ne sont efficaces que pour une partie des patients. Pour mieux traiter cette pathologie, il s’agit de mieux la comprendre. Thomas Marissal, de l’université de Genève en Suisse, et ses collègues viennent de franchir un pas dans ce sens : ils ont mis en évidence une désynchronisation des neurones chez des souris atteintes d’une forme de schizophrénie, et l’ont même corrigée, les rongeurs ne présentant alors plus certains symptômes de la maladie.
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