Devenue dans les sociétés modernes un véritable défi en matière de politiques publiques de santé, la prise en charge de la santé mentale au Maroc fait toujours face à la pénurie de spécialistes ainsi qu’à des défauts de fonctionnement.
La santé mentale, priorité de l'OMS. Ph/DR
C’est un chiffre qui laisse entrevoir l’ampleur du travail qu’il reste à accomplir : 40% des Marocains souffrent d’un trouble mental, selon Al Ahdat Al Maghribia, qui relaie les propos tenus par le ministre de la Santé, Anas Doukkali, qui répondait lundi à une question orale au Parlement. C’est peu dire que la santé mentale reste une priorité au Maroc. En témoigne la rencontre, fin septembre à New York, entre Anas Doukkali et Svetlana Akselrod, sous-directrice générale chargée du groupe maladies non transmissibles et santé mentale à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en marge de la troisième réunion de haut niveau consacrée aux maladies non transmissibles.
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