À l’appel de SUD, une partie des soignants de l’hôpital psychiatrique a respecté un débrayage afin de préparer une journée de mobilisation nationale.
[...] C’est donc au pied d’une tente symbolisant l’exigence de lits supplémentaires qu’ils se sont concentrés à une trentaine à l’entrée de l’institution, hier, à la mi-journée, à l’occasion d’un débrayage appelé par le syndicat SUD-Santé Sociaux. Revendication principale : l’amélioration des conditions de travail des agents et d’accueil des patients.
« On est devenu l’hôpital de la honte. A l’image de certains hôpitaux russes mais géré avec des méthodes de travail chinoises de pression sur le personnel », s’alarme Yann Adrait, délégué du personnel (SUD).
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