Image issue de la série photographique «Silenzio #2». Photo François Fontaine. Agence VU
Si on relevait le seuil de non-consentement absolu de 6 à 13 ans, âge où la puberté est accomplie et seuil de la responsabilité pénale, deux exigences seraient remplies : protéger au mieux les victimes de violences sexuelles et accompagner les adolescents vers l’indépendance.
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