La situation devient de plus en plus tendue au service psychiatrie du CHU de Clermont-Ferrand où chaque nuit, les employés se sentent démunis, face à une violence en perpétuel développement.
Tout le monde se souvient ici du double meurtre de l’hôpital psychiatrique de Pau (2004) où une infirmière et une aide-soignante ont perdu la vie. Mais surtout, tout le monde juge que les conditions sont de plus en plus réunies à Clermont pour qu’un événement de ce type s’y produise.
"Augmentation de la violence"
La violence est en effet un des éléments principaux dans le conflit qui oppose depuis plus d’un an le personnel du centre médico-psychologique du CHU et sa direction dans la gestion des nuits : « Nos problèmes de sous-effectif se conjuguent avec l’augmentation de la violence.
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