Ce n’est pas un scoop, le paternalisme médical a vécu. Dans ces colonnes, nous avons décortiqué à plusieurs reprises les "affres" de cette attitude où se mêlaient bienveillance et infantilisation, avec un dosage défavorable au premier ingrédient selon beaucoup. L’heure est désormais à la "codécision" (même si les patients ne disposent pas tous des mêmes ressources pour être acteurs de ces décisions) et à la transparence. Que l’on trouve des limites à cette tendance (tout en se gardant bien de regretter le paternalisme) ou pas, il convient de savoir comment s’opérera la mue ? Comment les médecins de demain éviteront-ils les réflexes que les patients rejettent aujourd’hui ? En étant à bonne école. C'est-à-dire en étant "éduqués" par les premiers concernés. Les malades eux-mêmes.
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samedi 17 septembre 2016
Les patients doivent-ils devenir des professeurs de médecine ?
17 septembre 2016
Ce n’est pas un scoop, le paternalisme médical a vécu. Dans ces colonnes, nous avons décortiqué à plusieurs reprises les "affres" de cette attitude où se mêlaient bienveillance et infantilisation, avec un dosage défavorable au premier ingrédient selon beaucoup. L’heure est désormais à la "codécision" (même si les patients ne disposent pas tous des mêmes ressources pour être acteurs de ces décisions) et à la transparence. Que l’on trouve des limites à cette tendance (tout en se gardant bien de regretter le paternalisme) ou pas, il convient de savoir comment s’opérera la mue ? Comment les médecins de demain éviteront-ils les réflexes que les patients rejettent aujourd’hui ? En étant à bonne école. C'est-à-dire en étant "éduqués" par les premiers concernés. Les malades eux-mêmes.
Ce n’est pas un scoop, le paternalisme médical a vécu. Dans ces colonnes, nous avons décortiqué à plusieurs reprises les "affres" de cette attitude où se mêlaient bienveillance et infantilisation, avec un dosage défavorable au premier ingrédient selon beaucoup. L’heure est désormais à la "codécision" (même si les patients ne disposent pas tous des mêmes ressources pour être acteurs de ces décisions) et à la transparence. Que l’on trouve des limites à cette tendance (tout en se gardant bien de regretter le paternalisme) ou pas, il convient de savoir comment s’opérera la mue ? Comment les médecins de demain éviteront-ils les réflexes que les patients rejettent aujourd’hui ? En étant à bonne école. C'est-à-dire en étant "éduqués" par les premiers concernés. Les malades eux-mêmes.
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