PUBLIÉ LE 28/06/2023
Une réunion d’installation du «Comité d’appui pour l’encadrement des pratiques de soins non conventionnelles» doit se tenir à l'initiative du cabinet d'Agnès Firmin-Le Bodo. L'objectif : encadrer ces médecines dites "douces" vers lesquelles se tournent de plus en plus de Français mais qui ne reposent sur aucun fondement scientifique.
Comment mieux encadrer et réguler ces "médecines douces" (sophrologie, naturopathie…) qui se sont considérablement développées en France, et d’autant plus à la faveur du Covid, au risque d’entraîner d’importantes dérives ? C’est la question qui va présider la réunion d’installation du « Comité d’appui pour l’encadrement des pratiques de soins non conventionnelles (PSNC) », organisée ce mercredi 28 juin après-midi par la ministre chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé, Agnès Firmin-Le Bodo. Une réunion qui suscite d’ores et déjà la méfiance des adversaires de ces pratiques dites « alternatives ».
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