Publié le 24 février
QUEBEC
Élevé par une mère atteinte de troubles mentaux, le Britannique Sam Mendes, réalisateur de 1917 et des James Bond Skyfall et Spectre, a très tôt considéré le cinéma comme une deuxième famille, à laquelle il rend hommage dans son dernier film.
Empire of Light raconte l’histoire tourmentée d’une employée de cinéma à la santé mentale vacillante (Olivia Colman) dans une cité balnéaire anglaise.
Ses seuls points de repère sont les employées du lieu, quelque peu fantomatique, jusqu’à l’arrivée d’une nouvelle recrue, un jeune Noir (Michael Ward), dont elle va tomber éperdument amoureuse.
« Je n’ai pas grandi dans une famille fonctionnelle », explique le réalisateur de 57 ans dans un entretien à l’AFP. « Le théâtre, le cinéma et le sport ont été comme mes familles pendant ma jeunesse ».
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