Le 17 janvier 2022
Deux cellules psychologiques ont été mises en place jusqu’à ce mardi dans l’établissement parisien (XXe) où l’adolescente était scolarisée, pour soutenir les élèves et les professeurs. L’élève de 6e s’est pendue dans sa chambre jeudi dernier.
Une minute de silence a été observée au collège Henri-Matisse où était scolarisée Noëla. LP/J.S.
Les mines sont graves, ce lundi matin, devant le collège Henri-Matisse (Paris XXe), quatre jours après le suicide de Noëla, scolarisée en 6e. « Vendredi, j’ai pleuré toute la journée, confie une élève également en 6e. Les profs sont très touchés aussi. J’en ai vu plusieurs en larmes. » Certains semblent encore avoir du mal à comprendre qu’ils ne recroiseront plus leur camarade. « Je n’arrive pas à croire que ce n’est pas une blague, lance un élève de 4e. Noëla était joviale. Elle souriait tout le temps. Franchement, c’est incompréhensible. »
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