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La poussée printanière a pris racine: entamée mi-mars dans un hôpital parisien, la grève des services d’urgence a essaimé dans des dizaines d’établissements partout en France. Au départ, il y a eu l’agression de trop, qui a poussé les infirmiers et les aides-soignants de Saint-Antoine, dans l’est de la capitale, à se mobiliser. L’initiative a fait tache d’huile, d’abord au sein des Hôpitaux de Paris (AP-HP), où les soignants ont créé le collectif Inter-Urgences, qui n’a cessé de s’étendre depuis. «On en est à 80 services», a déclaré mardi Candice Lafarge, aide-soignante à Saint-Antoine et membre de ce collectif.
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