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Si les Sénateurs ont adopté à l’unanimité la proposition de loi visant à améliorer l’accompagnement des couples confrontés à une fausse couche garantissant aux femmes confrontées à cette douloureuse expérience, ainsi qu’à leur éventuel partenaire, un accompagnement psychologique qualitatif, le dispositif préconisé « MonParcoursPsy » reste contesté.
Si les conséquences physiques d’une interruption spontanée de grossesse – saignements, douleurs abdominales ou infections – sont le plus souvent bénignes, les répercussions psychologiques peuvent dans certains cas être dévastatrices, notamment lorsque les victimes s’étaient déjà projetées dans leur future parentalité ou en cas de récidive. À la souffrance du deuil s’ajoutent de fréquents sentiments de culpabilité ou de honte.
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