Avec notre correspondant à Nantes, Léo Hélaine Publié le :
Personnels en sous-effectifs, offre de soin dégradée, soignants en souffrance, sentiment d'insécurité... De nombreux hôpitaux ferment des lits dans les unités psychiatriques par manque de soignants et le nombre de postes vacants ne cesse de croître.
Plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées mardi 9 mai devant l'hôpital psychiatrique de Nantes pour dénoncer ces conditions de travail qui se détériorent. Le mot d'ordre : « Il faut des bras et des lits. »
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