Par Aïda Djoupa 08/05/2023
Les au revoir avec son psy, figure d’autorité et de confiance, peuvent être complexes. Du ghosting à la lettre d’adieu, une psychologue répond aux questionnements de deux patients sur la fin de thérapie.
« C’est quelqu’un de spécial, avec qui j’avais l’impression de pouvoir être librement moi-même », décrit Giorgio pour parler du psychologue qui l’a suivi pendant six ans. Il considère son thérapeute comme une personne à part, avec qui il a expérimenté une vulnérabilité rare. Alors, lorsque son thérapeute a évoqué la fin de leurs sessions, cela a suscité chez lui beaucoup d’émotions.
Il n’est pas le seul dans ce cas : pour les patients qui se sont confiés pendant des mois à leur psychologue, l’arrêt de la thérapie peut parfois prendre des airs de rupture affective, et en faire le choix peut devenir une source de stress. Comment aborder le sujet avec son psy ? Peut-on lui donner de ses nouvelles si on en ressent l’envie ? En somme, qu’est-ce qu’une bonne rupture avec son psy ? Réponse d’une professionnelle.
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